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*Ces 12 points sont considérés comme les points les plus importants de tout le corps.

                         P 7 LièQuē 列缺

                         C 5 TōngLǐ 通 里        action de circulation puisque liaison Lùo : Cœur / Poumon
                         GI 4 HéGǔ 合谷

                         GI 11 QūChí 曲池
                         E 36 ZúSānLǐ 足三 里

                         E 44 NéiTíng 内 庭

                         V 40 WěiZhōng 委中
                         V 57 ChéngShān 承 山

                         V 60 KūnLún 昆仑

                         F 3 TàiChōng 太冲
                         VB 30 HuánTiào 环 跳

                         VB 34 YángLīngQuán 阳陵 泉


                        *On parle des douze Étoiles Célestes de Ma Danyang, mais lui-même n’avait listé que
                     onze                                                                      points
                      « miraculeux » qu’il considérait comme les plus importants de tout le corps autrement dits
                     « vitaux » et les plus communément utilisés dans toutes sortes  de troubles fonctionnels
                     des organes internes.


                        Ces  11  points  sont  36  E  ZúSānLǐ,  44  E  NéiTíng,  11  GI  QūChí,  4  GI  HéGǔ,  7  P
                     LièQuē, 40  V  WěiZhōng, 57  V  ChéngShān,  60  V  KunLún,  30  VB  HuánTiào,  34  VB
                     YángLīngQuán et 5 C TōngLǐ.


                        Ils sont détaillés sous la forme de poèmes versifiés dans une ode intitulée « Chanson
                     des 11 points qui répondent aux Étoiles du Ciel », repris dans le Yu Long Jing, dans le
                     Manuel du Dragon de Jade et Biàn Que Shén Yīng Zhēn Jiu Yu Long, le Guide Spirituel
                     de Biàn Que (médecin) pour l’Acupuncture et la Moxibustion de Wang Guo Rui, rédigé
                     sous la Dynastie Yuan, en 1329.


                        À  titre  d’exemple,  les  indications  données  pour  11  GI  QūChí  sont  les  suivantes :
                     douleurs  du  coude,  la  main  ne  peut  se  fermer,  bras  très  faible,  fièvre  persistante  et
                     récurrente, sévères lésions cutanées sur tout le corps.

                        Ce n’est qu’un siècle plus tard que Xu Feng (auteur du Zhēn Jiu Da Quàn auquel on
                     doit par ailleurs l’introduction du concept des Huit méridiens Curieux) ajoute un douzième
                     point, le 3 F TàiChōng, et donne au texte un nouveau titre : « Chant des Douze Points
                     Étoiles Célestes qui peuvent soigner toutes les maladies. »


                        Ces Douze Étoiles Célestes seront reprises également dans le grand classique Zhēn
                     Jiu Da Cheng de Yáng Ji Zhou publié sous la dynastie Míng en 1601.


                                                       C 4 – P 132
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