Page 113 - Essais de sciences maudites / par Stanislas de Guaita. 1890-1920.
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11.2 ESSAIS DE SCIENCES MAUDITES
firmation nouvelle de notre théorie. Il est évident,
pour tous ceux qui possèdent quelques notions
ésotériques, que les quatre branches de la croix
intérieure (ngurée par le Christ les bras étendus)
doivent être marquées aux lettres dutétragramme
Iod., /~e, vau, Ae. Nous ne saurions revenir ici
sur ce que nous avons dit ailleurs' de la compo-
sition hiéroglyphique et grammaticale de ce mot
lyse dans la synthèse. Et 10 est le chiffre correspondant à
Iod ce qu'il fallait établir.
Le vocable hiérogrammatique Q"~ représente donc l'évo-
lution nonaire du cycle émané de et qui se clôt en 10, en
retournant à son point de départ, Principe et Fin de tout, Iod
éternel, révélé dans sa forme d'expansion lertriune.
Allons plus loin.
Nous avons donc le droit (en notant d'ailleurs qu'Adam
diffère de Iod ou de Wodh comme l'ensemble des sous-mul-
tiples diffère de l'Unité), nous avons le droit de dire, pour-
suivant nos analogies
Si Adam est égal à 7,
Adam-ah = I-ah, Et Adam.-eoë = 7-ëoë
Hé i1 représente la Vie universelle, la Nature-naturante; i
D'' représente donc uni à la vie, et nn* Adam uni à
la vie. C'est à deux degrés différents (en tenant toujours
compte de la distinction notée plus haut), l'union de l'Esprit
et de l'Ame universels.
Enfin, en *)T!~comme en Dirra* t~M 1 figure la fécon-
dité de cette union, et le dernier n symbolise la Nature-na-
<Krëe (issue de la Nature-naturante engrossée par le Prin-
cipe mâle).
de Mer-
Les quatre lettres de nifT' figurent le ~M6[~eyH<Kre
c~o~A; les six lettres d'ni'rQIK, le s<~Mtre de BercBs/n'
S. DEG.
Au seuil du mystère, page 34 de cette édition.
Lotus, tome II, n" 12, pages 321-347,passim.