Page 16 - Travail à la maison
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Régent Bilodeau, BILR18046408- POL- 1601 GR-10,
démontre que même avec des chartes et des lois écrites, qu’il faut toujours se battre pour
ses droits, que vous soyez autochtones ou non.
Dans les relations négatives, il y a celles en rapport avec les soins de santé donnés
aux jeunes enfants des Premières nations, donné par le gouvernement. (site du
Gouvernement du Canada ) « En juillet 2019, par exemple, on demande aux citoyens de la
Premières nation Attawapiskat d’aérer leur maison s’ils ouvraient leurs robinets, car la
vapeur d’eau était toxique, et un rapport indépendant a révélé que, chez les Premières
Nations de l’Ontario, 40% des décès pourraient être évités si ceux-ci avaient eu accès à des
soins de santé efficaces et équitables. Ce sujet très préoccupant à mon sens est finalement
passé sous silence ou étouffé par des sujets plus d’actualité. Dans ce même article ont dit
que « Les gouvernements du canada expriment leur intérêt pour la réconciliation, mais trop
souvent, cet intérêt s’émousse lorsqu’ils impliquent des réformes d’envergure et de
sacrifices ».
« Comme CRV et l’historien John Milloy l’ont bien montré, pendant la période de
plus de cent ans où le Canada a appliqué la politique des pensionnats, des gens issus de
tous les horizons ont régulièrement déploré les mauvais traitements infligés aux enfants
autochtones et la mort évitable de nombre d’entre eux (Samir Shaheen-Hussain, Voir page
13 du livre, « Plus aucun enfant autochtone arraché ») - (7. CVR, Honorer la vérité,
réconcilier pour l’avenir..)
À la suite de cette dénonciation, grâce aux efforts collectif de l’équipe de la
campagne nommée « Tien ma main » les enfants qui doivent être évacuée des régions
éloignés du nord du Québec peuvent maintenant voyager en compagnie d’un être cher.
Comme le dit un proverbe américain, la marée montante soulève tous les bateaux. Assurer
une équité véritable aux Premières Nations, aux Inuits et aux Métis ne peut que favoriser
l’autonomie des collectivités autochtones tout en enrichissant le tissus national du Canada.
Pour y parvenir, il faudra s’attaquer au colonialisme qui perdure au sein des gouvernements,
dans les professions et en chacun de nous ».
Une fois de plus, en dénonçant les faits et les abus, fait envers les Premières
Nations, les relations entre les autochtones et les gouvernements obligent à une prise de
conscience, qui nous dicte, que nous sommes tous des êtres humains et nous avons toutes
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