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pouvant bénéficier de cette technique et le cas échéant, l’intérêt d’un mini-abord
        dorsal  pour  faire  la  transition  entre  chirurgie  ouverte  et  arthroscopique.  Par

        ailleurs,  le  PC.  Ho  etF.Corella  Montoya  ont  chacun  décrit  leur  technique
        arthroscopique de reconstruction du ligament scapholunaire.

        Enfin  la  dernière  session  était  dédiée  aux  arthroplasties  du  poignet.  Une
        attention  particulière  était  portée  aux  complications  des  arthroplasties  du
        poignet.  M.Boeckstyns(Copenhague)  a  ainsi  largement  discuté  le  rôle  du  stress
        shielding dans la formation d’ostéolyses périprothétiquesalors que M.Rizzo (Mayo
        Clinic, USA) nous a fait partager son expérience de la prise en charge des échecs
        de prothèses totales du poignet.

        Une nouvelle fois les cas cliniques présentés par M Burnier et G Herzberg sous
        forme  de  sessions  à  part  entière  ont  souligné  l’importance  de  partager  les
        expériences  de  chacun  à  la  fois  pour  des  situations  exceptionnelles  mais
        également  concernant  le  traitement  de  pathologies  traumatiques  ou  chroniques
        plus fréquentes.

        Afin  de  prolonger  ce  partage  et  de  souligner  notre  attachement  à  la  sur-
        spécialisation  dans  le  domaine  de  la  chirurgie  de  la  main  et  du  membre
        supérieur,  G  Herzberg  et  moi-même  avons  créé  un  groupe  de  recherche
        international,  « International  Team  Research  in  Upper  Extremity  Surgery »  (i-
        TRUES)  qui  englobera  dans  un  futur  proche  non  seulement  le  Lyon  Wrist  mais

        aussi d’autres travaux et manifestations scientifiques.










































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