Page 22 - Le Petit Journal de Rebelle-Santé n° 221
P. 22

LE PETIT JOURNAL DE Rebelle-Santé
VOS TÉMOIGNAGES
Envoyez le vôtre: Rebelle-Santé - CS 80203 - 77520 Donnemarie-Dontilly
J’ai pris mon Parkinson en main !
« Avril 2012. Pour mon 65e anniversaire, mon médecin et le neurologue me diag- nostiquent la maladie de Parkinson. Un super cadeau... Abasourdi pendant une dizaine de jours, je me fais à l’idée de prendre l’allopathie qui m’est prescrite quatre à cinq fois par jour ; Modopar 62,5 et 125 mg. Mes tremblements dispa- raissent.
Après une année, j’ai des contractures, dystonies, excès de salive, hésitation dans mes décisions, y compris au volant de mon véhicule. Mon sommeil est perturbé. J’ai la tête en vrac. Je découvre les souffrances d’un parkinsonien avec la fin du scénario bien morne, annoncé par mon neurologue.
Décembre 2015. J’ai une crise d’allergie qui dépasse l’ampleur des mois précédents : démangeaisons, petits boutons qui se transforment en prurit sur les fesses et les cuisses (comme si j’étais tombé le derrière dans les orties), des sensations de brûlures, en général après le repas, dans une artère fémorale. J'ai des consultations diverses dont une me conduira aussi chez le cardiologue. Celui-ci mettra en cause mes kilomètres parcourus à pied chaque matin et mon âge...
Ma méfiance vis-à-vis des convictions médicales ainsi que des médicaments de synthèse se renforce parce que je suis déçu du savoir des grands professeurs
en dermatologie. Une autre désillusion médicale concerne l'absence de diagnostic d’un calcul impor- tant dans le canal cystique de la vésicule biliaire de mon épouse. Opérée d’urgence in extremis, malgré de nombreuses consultations chez des spécialistes "re- nommés" pour des vomissements, perte de conscience, pendant plusieurs années, qui n’ont jamais diagnostiqué ce problème. Cette bévue d’irréalisme me rendra méfiant quant à la compétence des médecins...
À ce rythme, dans quelque temps, je suis dans un fauteuil, mais pas au cinéma, car j’ai un pied quelquefois qui racle le sol et manque de me faire trébucher lors de la marche rapide du matin.
Une nuit, mon esprit frondeur, celui que je préfère et qui m’a accompagné toute ma vie, est en éveil. Alors je prends conscience que je suis devenu davantage parkinsonien de- puis que je suis sous traitement qui ne sert qu’à gommer le tremblement, du bras droit et de la main en particulier.
LE PASSAGE À LA PHYTOTHÉRAPIE
Depuis plusieurs mois, j’avais l’idée de remplacer l’allopa- thie par la phytothérapie, bref, de me prendre en main. Je me suis bien documenté et mes connaissances se sont étoffées. Je me suis procuré des ouvrages qui traitent des neurosciences que j’étudie depuis plus de trois années. Encore aujourd’hui, ma conclusion est que cette maladie est créée par l’Homme, sauf cas rare : la qualité de l’envi- ronnement dégradée, la nourriture, les conditions de tra- vail et de vie... sont autant de facteurs responsables de ce vieillissement cérébral accéléré.
Petit Journal Rebelle-Santé N° 221 page 110


































































































   20   21   22   23   24