Page 24 - Le Petit Journal de Rebelle-Santé n° 221
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LE PETIT JOURNAL DE Rebelle-Santé TÉMOIGNAGES
réagi face à la médecine conventionnelle. Trois années sont passées, maintenant on me croit.
Comment espérer un jour un médicament complet pour "guérir" le Parkinson si tous les spécialistes s’accordent pour affirmer que cette maladie est incurable ? C’est tendre la perche aux laboratoires pour qu’ils ne soient pas tenus au résultat de guérison...
L’ESPOIR
Puisque j’ai constaté, depuis quatre années avec ce ré- gime, un retour à la normale de mon état, je suis donc persuadé que cette "maladie Parkinson" – que je qua- lifie de dérèglement neurologique par déplétion en do- pamine avec oxydation cellulaire – n’est pas incurable si elle est traitée à temps afin de stopper la mort des neurones concernés. Il faut agir sur les causes, y compris celles qui ne sont peut-être pas directes, en prévention. Et compenser naturellement le manque de L-dopa. Cette pathologie n’est ni dégénérative, ni incurable, si on se donne les moyens de la prévenir.
Évidemment, cette logique ne profite pas au commerce pharmaceutique ni aux maisons de placement. Mais ça, c’est un autre sujet...
En résumé, je ne prends plus d’allopathie depuis 2016 et voici ce que je prends aujourd’hui :
À jeun : 1 gélule de Mucuna + 1 gélule de Tyrosine avec le jus d’un demi-citron dans un verre d’eau.
Au petit déjeuner : 1 gélule de N-Acetyl-cystéine + 1 gé- lule de Coenzyme Q10 200 mg.
Le midi : un complexe Multivitamines.
Au dîner : 2 gélules de Bacopa monnieri.
Et j’ai adopté une nourriture adéquate pour mon cer- veau, qui joue pour 50 % dans la réussite de mon traite- ment naturel ! »
Jean-Claude Prévost
Jean-Claude Prévost a raconté son histoire dans un livre que vous pourrez trouver sur le site victoire-parkinson. blogspot.com
De l'argile pour éviter une opération du genou
Une lectrice a souhaité répondre à la personne qui a passé la petite annonce n° 8868/19 publiée dans la revue de novembre dernier (n° 220) : suite à une chute, un diagnostic d'entorse des liga- ments croisés a été donné au départ, l'IRM, en revanche, a montré une fracture du plateau tibial avec écrasement. Le chirurgien ne peut plus rien faire, une prothèse du genou sera éventuellement envisagée dans les années à venir. De plus, cette personne est atteinte d'ostéoporose sévère.
« J'ai lu votre annonce dans Rebelle-Santé et je ne peux que vous conseiller d'éviter une opération. En revanche, l'argile verte peut vous aider. Selon les conseils de Raymond Dextreit dans son livre L'argile qui guérit, des cataplasmes épais gardés toute la nuit peuvent aider votre genou à recou-
vrer la santé. Il faut acheter l'argile concassée en magasin bio, en sac de 5 kg. Versez l'argile dans un saladier en verre ou en terre (jamais de métal), couvrez d'eau et laissez gonfler (sans touiller !). Puis prélevez un gros tas d'argile avec une cuillère en bois ou en plastique, genre couvert à salade (pas de métal), que vous déposez sur un tissu ou un papier absorbant. Appliquez l'argile directement sur le genou et emballez le cataplasme dans une vieille ser- viette-éponge ou avec du film étirable, pour ne pas salir le lit. Gardez le cataplasme toute la nuit. Refaites la même opération chaque soir et même dans la journée, si possible, pour un résultat plus rapide. Avec un peu de patience, les choses devraient s'améliorer !
Par ailleurs, pour soigner votre ostéoporose, arrêtez immédiatement et totalement tous les produits contenant du lait de vache, de brebis, chèvre ou autres... À l'âge adulte (contrairement à ce que veut nous faire croire la propa- gande du gouvernement), le lait est notre pire poison ! Nous ne sommes pas des veaux ! Buvez en revanche de la bonne bière au malt d'orge artisanale, si possible, et bien sûr, supplémentez-vous en vitamine D (voir avec votre médecin pour les dosages sanguins). La meilleure vitamine D est issue de la lanoline de mouton. On la trouve en boutique bio.
Bon courage ! Prendre en main votre santé est le meilleur service que vous puissiez vous rendre ! »
Mme D. de Savoie
Petit Journal Rebelle-Santé N° 221 page 112