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ALTERNATIVE
cellulaire. Or, les formes graves de covid semblent liées à un manque de globules rouges, et par conséquent d’oxygénation cellulaire. Il semble donc logique que le bol d’air, en optimisant la distribution d’oxygène, puisse aider les patients à aller mieux.
L’appareil est assez onéreux, mais on peut en faire des séances chez certains kinésithérapeutes, médecins, etc. (adresses sur www.holiste.com).
CE QUE VOUS EN DITES
Depuis plus de 20 ans, nous relayons les informa- tions envoyées par des lectrices et lecteurs qui nous semblent pouvoir être utiles à la santé. Plusieurs fois, nous avons ainsi publié des témoignages concernant l’usage du bol d’air Jacquier. Bien entendu, nous sommes tous différents et ce qui peut aider les uns ne fonctionne pas forcément pour les autres, mais cela vaut souvent la peine d’être tenté, d’autant plus quand il n’y a pas de contre-indication*.
Insuffisance respiratoire
« J’ai 53 ans et je pratique quotidiennement la respira- tion devant le bol d’air Jacquier, 2 fois par jour, 6 mi- nutes et ce, depuis maintenant 2 ans et demi. J’ai des difficultés musculaires, une myopathie qui entraîne une insuffisance respiratoire. Ma capacité respira- toire est restreinte au point que je ne sens pas l’odeur, paraît-il merveilleuse, de l’essence de pin d’excep- tionnelle qualité qui sert de base au principe du bol d’air. J’en ressens un bien-être, un moment paisible, concentrée sur ma respiration et sur des pensées que je choisis positives. Je passe les hivers très confortable- ment grâce à une hygiène de vie axée sur la qualité, quelques fantaisies et indiscutablement le bol d’air Jacquier que je n’oublie jamais, moi qui suis pourtant un peu papillonnette ! »
Mme D. de Gironde
Manque d’oxygène
« J’ai subi, en 2004, une opération à cœur ouvert pour le remplacement valvulaire aortique par une bioprothèse associée à un monopont mammaire in- ter gauche. Je n’ai pas eu de complications, à part un manque de souffle au moindre effort ; il me semblait que ma respiration ne m’apportait pas assez d’oxygène et fréquemment, j’étais obligé d’inspirer profondé- ment pour compenser. Je me suis procuré un appareil “bol d’air Jacquier”. Après quelques jours d’utilisation, ma respiration est redevenue normale, même en cas d’effort. Je suis particulièrement satisfait de mon achat. Cet appareil m’est apparu très efficace. On ne peut critiquer que son prix qui, malheureusement, ne le met pas à la disposition du plus grand nombre. »
M. W. du Var
Bronchites et rhumes
« Nous avons acquis un bol d’air Jacquier en novembre 2002 pour soulager mon mari, atteint de bronchite dès le moindre rhume, avec tout ce que cela comporte... et double oreiller pour essayer de dormir puisqu’il ne pouvait pas respirer normalement. Dès l’hiver suivant, il y a eu un mieux si bien que la cure thermale prévue en 2003 a été annulée. Depuis, nous pouvons comp- ter les jours de rhume aggravé car il suffit de faire, plusieurs fois par jour au lieu d’une, du bol d’air et d’ajouter quelques remèdes homéopathiques pour régler le problème. C’est profitable pour beaucoup de choses, j’en fais, moi aussi, tous les matins, une séance de 6 minutes, et je n’ai plus le nez encombré. Jamais nous ne dirons assez combien nous l’appré- cions. Cet appareil coûte cher, peut-être, mais pour nous, il y a longtemps qu’il est amorti avec la suppres- sion des cures, des frais et du reste ! »
M. et Mme B. des Deux-Sèvres
Si vous avez testé les effets, vous aussi, n’hésitez pas à nous envoyer vos témoignages.
Sophie Lacoste
*Chez les personnes asthmatiques, spasmophiles, allergiques, hyperthyroïdiennes, le bol d’Air peut être utilisé, mais de manière progressive par principe de précaution. Son usage est contre-indiqué en cas de réactions épileptiques terpène dépendantes et de réactions allergiques à la térébenthine officinale.
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