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LA CHRONIQUE DE PINAR
Le cabinet de Jacques
et les pétales de la naturopathie
Le mois dernier, j’ai com- mencé à vous raconter l’his- toire émouvante de Maryne
et Jacques. J’ai essayé ainsi de résumer au mieux le chemin qui leur a permis de sortir de la rue, de l’alcoolisme et de créer l’épicerie « Jeanine », devenue un lieu de belles rencontres, de partage, et une épicerie où l’on trouve de bons produits. Vous vous souvenez, les ennuis de santé de Jacques et sa décision de reprendre sa propre vie en main l’ont amené à suivre une formation de naturopathie à l’Ins- titut Français des Sciences de l’Homme (IFSH). Il a déjà validé une étape importante de ce cur- sus et a commencé à pratiquer en ouvrant son cabinet pour travail- ler en complément de certains de ses collègues. Depuis, il a perfec- tionné son installation et il a dé- cidé de s’équiper pour être le plus efficace possible dans ses soins.
Grâce à leur vieille voisine, qui avait émis le souhait, avant son décès, de laisser ses meubles aux « Amoureux » (Maryne et Jacques), Jacques va vite avoir de quoi meubler son cabinet (1). Tout se construit avec très peu de ressources. Jacques et Maryne donnent la vie aux fleurs dans le béton avec de l’amour, de l’intel- ligence, de la force, déterminés à tenir le gouvernail de leur vie. Petit à petit, Jacques a donc in- vesti dans du matériel utile pour mieux soigner. Par exemple, maintenant, il a un PhysioScan, appareil qui lui permet de réali- ser un bilan énergétique précis de chaque organe du corps. Il permet de rechercher les désé- quilibres, les substances allergi-
santes ou provoquant des into- lérances en évaluant le degré de tension, de fatigue, l’état de stress émotionnel, etc. Jacques peut désormais mesurer le potentiel énergétique de ses patients pour ensuite procéder au rééquilibrage par bio-résonance.
La plupart de ses machines sont développées par des médecins russes pour contribuer à soutenir le corps dans sa capacité à s’auto guérir. Selon lui, quand l’Ouest était figé dans la physique car- tésienne, les Russes étaient déjà passés à d’autres méthodes qui s’appuient sur les nouvelles avan- cées de la science, par exemple la physique quantique. Jacques a confiance en ces machines
qu’il trouve très précises : « Elles évitent aux patients d’avaler des produits chimiques, des médica- ments qui peuvent avoir des effets secondaires indésirables. » Bien évidemment, on est parfois obli- gé de prendre des médicaments, mais en renforçant l’organisme, on peut bien souvent s’en passer. Je suis très émue d’être le témoin de cette étape dans le parcours professionnel de Jacques. C’est un début à la fois fort et lent, comme les mouvements de Yoga. Et aujourd’hui, Jacques a pu dé- marrer son activité en s’entourant de tout le matériel qu’il estimait nécessaire pour être le plus effi- cace possible, en utilisant les thé- rapies quantiques. Ses premiers clients sont déjà là. « Chaque
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