Page 18 - Rebelle-Santé n° 195
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COURRIER
Vos lettres et témoignages intéressent les autres lecteurs. Quand on fait une bonne expérience, autant que cela serve aux autres. Et quand le résultat est moins réussi, autant savoir pourquoi... ou éviter aux autres de refaire la même tentative !
Écrivez à : REBELLE-SANTÉ - CS 80203 - 77520 DONNEMARIE-DONTILLY en joignant une enveloppe timbrée à votre adresse si vous attendez une réponse.
Une semaine de jeûne bénéfique
« Grâce à vous, je suis allée avec mon mari faire une semaine de jeûne dans le Morbihan. Vous aviez parlé du jeûne dans votre revue et vous m’aviez gentiment donné l’adresse de Jean et Viviane C. du Val-de-Marne pour de plus amples renseignements (dans le n° 183 page 4 du Petit Journal intérieur, ces lecteurs avaient donné un long témoignage de leur expérience : jeûne et leucémie lymphoïde chronique, NDLR). Cette semaine nous a fait un bien fou, nous avons changé notre alimentation, perdu 4 kg pour moi et 6 pour mon mari. Nous ne les avons pas repris ; cela fait deux mois que nous sommes rentrés. Nous étions dans un groupe formidable, très belle expérience. Les conférences en soirée sont très instructives. »
Quelle est la bonne tension ?
« Lors d’une visite chez le médecin, si jamais votre tension « haute » n’est pas dans la fourchette 12 - 14 et surtout si elle dépasse 14, il commence à s’alarmer. C’est l’occa- sion de vous bombarder de pilules. C’est le dictionnaire homéopathique de Louis Pom- mier (Livre de poche) qui vous donne les bonnes valeurs selon l’âge.
À l’âge de 20 ans, le chiffre moyen de la ten- sion systolique est d’environ 12. À 40 ans : 14. À 60 ans : 16.
À 80 ans : 18. » Rodolphe D. du Bas-Rhin
Annick P. de Saône-et-Loire
La vie, la vue, et le bleu du ciel
« J’ai lu naguère l’histoire d’un médecin new yorkais qui, jeune stagiaire à l’hôpital, s’est vu confier le service des soins palliatifs – celui des cancéreux en fin de vie.
Il a pensé : « Pauvres gens, je ne peux rien faire pour eux... ». Et pour qu’ils profitent encore un peu de la vie et du beau temps, il les a fait installer dans des transats, sur le toit de l’hôpital.
Tous ont guéri, sauf celui qui avait gardé ses lunettes...
Cette histoire - vraie - nous en- seigne au moins deux choses. Le bleu du ciel a un pouvoir de régénérescence. Mais son influence
doit s’exercer en direct et non der- rière une vitre : que ce soit le verre des lunettes ou les fenêtres de l’ha- bitat.
Donc, régulièrement, - faire une promenade en tournant de temps à autre le regard vers le ciel, - ou ouvrir la fenêtre pour faire de même sans quitter le domicile. - si lunettes, alors les abaisser pour recevoir la lumière en direct.
Ce bain de bleu peut se combiner avec la méthode du Dr William Bates pour exercer la vue : regarder en alternance la racine du nez puis l’horizon, plusieurs fois de suite, plusieurs fois par jour.
Cela fortifie le fond de l’œil (muscle et macula) et retarde le port de lunettes ainsi que l’échéance de la DMLA et autres inconforts liés à l’âge.
Autre précision : il y a bleu et bleu, en fonction de la qualité de l’at- mosphère. Le meilleur guérisseur est celui qui s’accompagne de petits nuages blancs en forme de boules de co- ton, les nuages « de beau temps ». La qualité de l’air influence la qua- lité des gouttelettes et molécules d’eau qui forment le nuage, et c’est ainsi qu’elles se regroupent lorsque l’ambiance leur convient... » Hélène Bernet
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