Page 26 - Gazette ADIVAS n°34 printemps 2024
P. 26

  Le module entrepreneuriat n’existait pas encore donc je ne sais pas si cela aurait été un atout pour moi. En revanche, la formation d’agro donne de la crédibilité, ça rassure certains clients potentiels que je sois ingénieure agronome.
Être auto-entrepreneur c’est d’abord un trait de caractère, ce n’est pas que par la formation qu’on le devient.
- ´?
LBB : Se faire accompagner par une personne extérieure au projet !
L’accompagnement permet de prioriser les choses, de structurer la réflexion, les démarches. On a souvent une montagne de choses en tête qui arrivent toutes en même temps. Par exemple on pense souvent tout de suite à la forme juridique et pourtant c’est la dernière chose à voir ! Se faire
accompagner permet d’avancer pas à pas dans son projet.
Il faut aussi réussir à bien s’entourer. Quand on entreprend, on n’est pas doué en tout d’où l’intérêt de s’entourer des bonnes personnes pour aider. Dans mon cas ce fut l’expert-comptable.
Pour les jeunes diplômés, je pense qu’il est intéressant de se faire une expérience pro avant de se lancer. Cette expérience peut être très enrichissante pour comprendre le fonctionnement d’une entreprise et pour construire son réseau.
Et enfin, connaître et savoir identifier ses points forts et ses points faibles est une force.
´ADIVAS
      AH :
Quels conseils donnerais
tu aux
           diplômés
tentés
par l
entrepreneuriat
    AH :
Merci Laureline pour cette
             interview.
Nous
te
souhaitons
une
belle
        réussite
pour
ta
société.
 Anaïs
  Hubert,
    pour l
    Pour plus d´information ou pour contacter Laureline Bes de Berc
06 69 54 37 70 contact@xyleme-solutions.fr
 Ce qui a été le plus dur c’est le temps nécessaire à la transition, c’était long !
  avril 24
La gazette des diplômés – La revue de l’ADIVAS – N°34
 26
 Dossier thématique
 



























































   24   25   26   27   28