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Les études supérieures - moment d'émotion !

En juin 1975, je suis diplômé ingénieur technicien en
électronique avec une spécialisation en sciences nucléaires
appliquées. J'ai terminé mes études avec une moyenne de
77,5 %. Un beau parcours par rapport à l'élève que j'étais à
l'école primaire. Plus j'avançais dans mes études, mieux je
travaillais, car la matière m'intéressait.
J'avais assimilé un des fondements de l'apprentissage en
remplaçant le fait que l'on étudie pour réussir un examen par
le fait d'augmenter son "savoir".

Sur le fond, je n'ai aucun regret, car je connais la fin de
l'histoire, mais il est évident qu'il y a des jeunes pour qui
l'histoire ne s'est pas bien terminée. La gestion du temps et
l’organisation sont essentielles quand on commence des
études supérieures. Comme déjà évoqué, je constate que
dès 12 ans s'impose un choix fondamental quant à
l'orientation que l'on va donner à sa vie. Que cette
orientation soit choisie, forcée ou par défaut, elle est là.
Je constate aussi que lorsque l'on quitte l'école secondaire

pour l'université, d'une manière générale, on n'est pas bien
préparé à ce changement assez radical du mode de vie dont
les conséquences sont capitales. Toutes les statistiques le
montrent et le démontrent, depuis des décennies, plus de
45 % d'échecs sont enregistrés la 1 année. Tout le monde
re
est conscient de ce fait, mais fondamentalement, rien ne
change !

Après quelques années, le diplôme d'ingénieur technicien a
changé, il est devenu le diplôme d'ingénieur industriel en
4 années d'études. J'ai suivi toute la procédure pour obtenir
cette équivalence et je l'ai obtenue.

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