Page 31 - V2-la recherche d'un emploi

Constat : le non-savoir-faire

Trop qualifié, trop d'expérience
Je ne pense pas que l'on soit trop qualifié ou que l'on puisse avoir trop
d'expérience pour un poste ou pour une fonction. Ce qui compte avant
tout, c'est de s'assurer que le travail demandé sera bien fait et que
personne ne doive le "refaire". Pour cela, il faut des "qualifications" et
de "l'expérience".
Salaire trop élevé
Ce qui est important, ce n'est pas le décompte des coûts salariaux, mais
bien la "productivité", c'est-à-dire le rapport entre le travail fourni et
le temps mis pour le faire. Avec mon expérience, ma productivité est
très élevée, donc le coût de mes services est relativement moindre.

Moins d’énergie que les jeunes
L'énergie est directement liée à la différence entre celle que l'on
dépense et celle que l'on accumule. Avec les années, j'ai appris à bien
gérer mes efforts et mes temps de repos. Le résultat est toujours très
positif.
Pour le moment, je déborde d'énergie !

Réfractaire aux nouvelles technologies
Bien au contraire, les nouvelles technologies – bien comprises et
maîtrisées - facilitent le travail et augmentent la "productivité". Donc,
j'y suis très favorable, mais les formations doivent être à la hauteur
des ambitions.

Pas flexible
La flexibilité fait partie intégrante de notre mode de vie depuis des
lustres. Je m'y suis facilement adaptée et mon organisation générale
est flexible. Je peux donc répondre sans problème à certaines
sollicitations.

S’adapterait mal à une petite entreprise, après avoir travaillé
dans une grande
Cela pourrait être le cas d’un profil "monochrome". Dans mon cas, cela
n'est pas pertinent, car j'ai un profil polyvalent et je peux, donc très
facilement m'adapter à l'environnement d'une petite entreprise dans
laquelle il faut pouvoir prendre en charge plusieurs profils.

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