Page 227 - Une vie, ma vie, mon parcours
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Annexes
La suite logique de ce processus est d’y ajouter l’interaction
forte. Mais, si convergence il y a, elle ne devrait se manifester
qu’à des échelles d’énergie encore bien plus élevées (à partir
de 10,15 TeV), hors de portée des expériences actuelles.
Après 3 ans de maintenance, le CERN de Genève vient de
relancer en juin 2022 un programme de recherche pour 4
ans avec le LHC qui devrait, dans sa nouvelle configuration,
atteindre des énergies de 13,6 TeV.
On rentre donc dans le domaine du possible.
L’étape ultime, l’ajout de la gravité à ce formalisme, est
encore plus éloignée, et se heurte à des problèmes
mathématiques non résolus pour le moment.
Pour les spécialistes, la théorie des cordes et la théorie
de la gravitation quantique à boucles sont les deux
cadres théoriques les plus étudiés aujourd’hui.
Albert EINSTEIN a travaillé une grande partie de sa vie sur
l'unification de ces 4 forces sans y parvenir.
• Les interactions électromagnétiques, forte et faible, sont
décrites par le modèle standard de la physique des
particules, qui est en cohérence avec la physique
quantique.
• L’interaction gravitationnelle est actuellement décrite par
la théorie de la relativité générale.
En résumé, l'infiniment grand est expliqué par la relativité
générale et l'infiniment petit est expliqué par la physique
quantique.
Rassembler ces 2 théories dans une seule serait
l'aboutissement permettant de comprendre l'ensemble des
interactions de tout l'univers.
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