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L’étau se resserre autour d’Antioche, la porte Saint-Georges
est bloquée, coupant les derniers approvisionnements des
assiégés.
Un soir, le Comte de Saint-Gilles fait le point sur la situation,
le légat du pape est présent.
Raymond de Hautpoul se lève regarde le Comte
-en sommes, Messire, vous savez que l’instant décisive
approche.
Sortant de la tente du Comte, Hautpoul et Nogarède parte
retrouver leurs hommes.
Pierre-Raymond, aperçu le capitaine Raymond parmi ses
hommes. Le lendemain matin, l’assaut
C’est alors qu’une rumeur se glisse comme un serpent, un
certain Firouz garde arménien qui dirige la tour des Deux
Sœurs. Converti à l’islam mais mécontent des Turcs promet
d’ouvrir la porte aux croisés.
Cette nuit-là, dans un silence chargé de tension, les échelles
sont dressées contre la muraille face à la porte. Bohémond et
ses hommes escaladent les murailles par l’échelle de corde de
Firouz .
Le vent rabat les capuchons sur les visages, au loin, les étoiles
froides semblent observer ce complot. Lorsque la herse cède
dans un grincement, un flot d’hommes en armes déferle dans
la ville encore endormie.
La Porte s’ouvre, nous sommes rejoints par les chrétiens
orientaux qui ouvrent d'autres portes, a nos coté ils participent RENA - Les Compagnons Forgerons
aux combats contre la garnison turque.
La bataille dure toute la journée, totalement débordés, les
Turques sont vaincues.
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