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Le lendemain matin nous vîmes arriver le Comte de Toulouse,
Raymond d’Hautpoul, de Pierre Raimond de Nogarède
seigneur de la Nogarède et de Lamagère.
Sur l’estrade qui a été érigé devant notre dame d’Hautpoul
« Moi Raymond Comte de Saint-Gilles, de Toulouse, de
Béziers, de Narbonne, de l’Agenais,
Je jure de me croiser, de délivré le tombeau du Christ, de
délivrer la Jérusalem des infidèles. »
Dieu le veut ! Dieu le veut ! crièrent les premiers rangs tous
les autres rangs répètent à l’unisson dieu le veut !
Le Comte de Saint-Gilles et ses Barons sont vêtus d’une
chemise blanche avec une croix rouge aux armes du seigneur.
Les Damoiselles, les Damoiseaux, les vilains se mettent à
crier, dieu le veut !
C’est par ce cri que les Barons se séparèrent.
La liesse, qui étreint la ville, ne s’acheva que tard dans la
soirée.
Le lendemain matin maitre Alaric vient me trouver.
-Garcin, aucun de ces chariots ne conviennes à messire de
Nogarède.
Les roues s’usent trop vite, il faut que les roues soient
entourées d’une bande de métal. Remplacer tous les essieux,
réparée les bâches. Installé des ridelles capables de résister
aux viretons.
Le charron : Maitre Laurent et son fils Raphael et Adrien son RENA - Les Compagnons Forgerons
valet s’occupe a réparé les essieux avec des éléments achetés à
Toulouse. Les roues ont été remise en états.
Maitre Garcin il vous reste plus qua forgé des bandes de métal
et de cerclés les roues.
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