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NOUS N’ASPIRONS PAS AU REPOS, LES SOLUTIONS SONT À NOTRE PORTÉE !
3.1. EDUCATION
3.1.2. ALIMENTATION
Nous sommes ici entre la sobriété, l’édu- cation et la solidarité. Sans oublier qu’en balayant devant la porte de nos Temples, nous faisons avancer la cause écologique et la prise de conscience de l’obligation d’agir.
a gravité de la situation environnementale, réchauffement climatique, chute de la biodi- versité, et les recommandations des rapports d’experts (GIEC 2019 - https://www.ecologie.
gouv.fr/travaux-du-giec ) imposent une forme de radicalité dans nos pensées. Selon moi, la radicalité est la seule ré-
ponse à la hauteur de la radicalité de la situation. Les fenêtres d’opportunités à saisir sont toujours plus rares.
Nous en avons une présentement.
Nicolas Hulot expliquait le jour de sa démission du gouvernement que s’il était resté il aurait laissé croire au peuple français que les micro-mesures prises auraient été suffisantes.
De la même façon si nous, Frères et Sœurs, por- tions uniquement une politique du petit pas, nous laisserions imaginer que c’est suffisant. Or ça ne l’est pas.
- PRODUITS ALIMENTAIRES :
Intégrer le critère de la valeur nutritionnelle ou nutritive aux critères d’études des produits ali- mentaires. Les critères actuels se limitent à l’es- thétique, au goût et à la conservation des produits. Cette simple donnée additionnelle et essentielle pourrait amener le consommateur à reconsidérer
ses choix alimentaires et pourrait également parti- ciper à réduire le gaspillage. Le prix serait apprécié à l’aune de la valeur nutritionnelle.
La notion de cherté des produits bio serait de ce fait reconsidérée. De plus l’introduction de ce cri- tère essentiel permettrait de réduire le gaspillage puisque les fruits et légumes non calibrés sont au- jourd’hui principalement jetés. Pour rappel, 30% de l’alimentation produite est jetée.
Pour rappel, la valeur nutritionnelle d’un légume issu de l’agro-écologie peut être 12* fois supérieur à celui d’un légume issu de l’agriculture intensive (je n’emploie pas le mot conventionnel car cette agriculture n’a rien de conventionnel) pourtant le prix n’est pas 12* fois plus cher.
Le fruit de pensées d’actions de circonstances en mots jetés :
Commission Nationale de Réflexion sur le Développement Durable (CNRDD) Mars 2021 - P84