Page 14 - Témoignages
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J’accorde un grand respect à tout animal maintenant grâce à tes paroles qui me portent
               maintenant.

               Merci pour ce réveil
               Merci la vie
               Merci l’Univers
               Merci les Animaux
               Merci à toi

               Philippe-Tupa CAYREL (03)
                                                    Michel B. (64)
               Attestation de miracle (non déposée à Lourdes !)

               Je suis instituteur à la retraite, et mon épouse est infirmière libérale.
               Nous sommes rationnels et cartésiens et pas des gens crédules adeptes d’irrationnel.
               Je me dois de ce fait porter témoignage.

               Un de mes chats, Caramel, a eu une inflammation de la cornée qui nécessitait un
               traitement par gouttes dans l’œil 6 fois par jour.
               Ce chat vivait dehors bien qu’il soit câlin, car il faisait ses besoins partout dans la
               maison.

               On l’a élevé au biberon avec sa sœur car leur mère avait un cancer des mamelles et
               n’avait pas assez de lait.
               On a réussi à apprendre le « bac à chat » à sa sœur, mais pas à lui.
               La seule solution pour pouvoir l’avoir « sous la main » pour son traitement a été de
               l’enfermer dans la salle de bains (pièce « lavable », sans canapé ni lit...).

               Et là a commencé le drame. 48 heures NON STOP de ces hurlements affreux qui
               avaient fait classer les chats parmi les créatures démoniaques au Moyen Âge !
               A la fin, il s’enrouait, c’est dire !
               Que faire ?

               Continuer ainsi, c’était de la maltraitance animale et de la maltraitance humaine aussi !
               Le lâcher dans la maison, et devoir recouvrir canapé, lits et autres meubles de bâches
               étanches, ramasser les crottes et laver ses flaques d’urine ?
               Le relâcher dehors sans pouvoir soigner son œil et prendre le risque qu’il devienne
               borgne ?

               C’est alors qu’on a pensé à Marie.

               Ma voisine Véronique a été aidée a plusieurs reprises par elle et nous en avait parlé.
               J’avais aussi pu rencontrer Marie et échanger quelques mots.
               Elle m’a paru sincère dans sa démarche.
               On s’est dit qu’est ce qu’on risque ?

               Grâce à son intervention, notre regard sur Caramel a changé.
               On a appris à lui faire confiance.

               Elle a « dialogué » avec lui et nous avons trouvé un compromis.
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