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des croisières, des propo- sitions sur mesure ou à la carte... Et il ne fonctionne qu’en btob. Comme c’est le cas avec ses différentes structures réceptives, Sa- vanna Tours & Safaris dé- veloppe des partenariats avec ses vendeurs pour les- quels il s’implique, en par- ticulier dans leur formation. « Aujourd’hui, avec internet, l’information de la clientèle est de plus en plus facilitée. Il est important que les agents de voyages qui ven- dent nos prestations soient à minima à leur hauteur et connaissent parfaitement nos produits. C’est pour cela que, nous organisons régu- lièrement des éductours sur nos destinations », explique Jean-Michel Juloux. Ici aussi, le modèle est inédit. Pour chaque agence référencée, à chaque dossier soldé, Savanna Tours & Safaris re- met au vendeur un bon d’échange de 250 euros. Ce montant sera déduit du coût représenté par des séjours de vacances studieuses choisies parmi les destina- tions de Savanna Tours & Safaris. Pour célébrer parti-
culièrement ce 35ème anni- versaire cette année, le voya- giste a programmé, pour ces prochains mois, une série d’éductours : Zanzibar, qui aura lieu de 18 au 23 sep- tembre 2019, le Sénégal, fin novembre ou début décem- bre 2019 ou encore la Tan- zanie qui se déroulera fin mars et début avril 2020. Et, pour le reste, Savanna Tours & Safaris s’engage à répondre aux demandes de cotation en 48 heures.
Un bureau de représentation en France
En fait, Savanna Tours & Sa- faris ne dispose en France que d’un bureau de repré- sentation, aujourd’hui ins- tallé à Lille, et dont le repré- sentant officiel est Daniel Lemaire. Il s’agit d’une ins- tance chargée du marketing, de la promotion et de la mise en relation avec les ré- ceptifs locaux. Les chiffres d’affaires sont réalisés par les structures africaines lo- cales, et il n’existe pas de consolidation des comptes. « C’est ce qui nous permet de maintenir des prix attrac-
tifs pour nos clients, puisque nos marges ne servent pas à rémunérer des action- naires mais plutôt à faire vivre les salariés de nos ré- ceptifs et de ceux qui assu- rent la chaîne touristique. Il s’agit aussi pour eux d’in- vestir dans la qualité de nos prestations », précise Jean- Michel Juloux. Car la re- cherche de la qualité opti- male est aussi l’une des préoccupations majeures du voyagiste. Avec un ticket moyen qui évolue entre 2500 et 4 000 euros, selon les formules et les destina- tions, « nous positionnons nos prestations dans une
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