Page 145 - Livre Meytal taieb
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La source de vie
Pourtant lorsqu’on ne comprend pas cet idéal, cette qualité de vie peut passer pour un fardeau. De cette façon le Racha qui ne pratique pas la Torah, ne se développe réellement qu’à travers le matériel de ce monde-ci. Toute sa vitalité est grossièrement matérielle : il veut les plaisirs de ce monde-ci et se tue, avec toute la réalité impliquée par ce terme, pour ce monde-ci.
Il existe une règle par laquelle chaque entité ressent une attirance vers sa racine. Hakhamim nous disent que le sage cherche à apprendre de chaque homme. Ainsi on peut reconnaitre un sage en celui qui a une soif d’apprendre associée à l’humilité d’accepter d’apprendre même d’un plus petit que soi.
Suivant cet exemple tu peux observer la nature : en contemplant comment HaKadoch Baroukh Hou a créé le monde, le ciel et la terre, tu peux apprendre une sagesse, ou même en regardant les animaux tels que les chats ou les petites fourmis ; d’après une parole d’un ouvrier employé à la maison, tu peux également déduire une sagesse et par un simple bonjour à un employé de nettoyage des rues. De chaque chose on peut tirer un enseignement...
Pourvu que l’homme ait le mérite de développer le Inian, l’objectif, de cette âme qu’HaChem a placée en lui, la rendant toujours plus vivante en puisant cette Vie à la source des Mitzvot. Chaque Mitzva depuis la plus petite au monde - car on n’en connait pas le salaire – est un oxygène. S’il se présente une Mitzva à toi ou en quelconque circonstance cours après la Mitzva parce qu’elle contient une vitamine !
Tu peux dire « J’ai consommé suffisamment d’oranges ce matin ! » mais sais-tu s’il existe une vitamine que tu ne connais pas ? Celui qui comprend que chaque Mitzva contient une vitalité courra après les Mitzvot !
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