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Se defier de la Tristesse
SE DEFIER DE LA TRISTESSE Le 15 avril 2018
Nous connaissons l’importance du temps dans la vie de l’homme, chaque minute vécue émet son influence sur l’homme.
Et l’homme traverse différents temps, différentes périodes, influents sur lui : pour le travail de ses Midot et sa réparation, qui sont le but de sa venue dans ce monde. Nos âmes descendues du Ciel s’incarnent avec une santé particulière à chacun dans ce monde-ci. Il existe plusieurs sortes de guérison. En effet il y a les déchets naturels et les déchets spirituels. L’essentiel de toutes les maladies provient du fait que les organes se bloquent dans le corps, cela est le corollaire d’une mauvaise fluidité... Il faut au contraire qu’il y ait une bonne connexion entre tous les organes du corps ; et c’est le même principe sur le plan spirituel.
Un penchant qui peut énormément enfreindre la progression de l’homme c’est ‘Halila de tomber dans la Atzvout, la tristesse. Ils sont en grand nombre les traits de caractère que nous devons travailler : pendant le mois de Yiar, période du ‘Omer, nous traversons des jours de deuil, et de rigueur où l’on ressent vraiment notre petitesse spirituelle en réalisant que vingt-quatre mille élèves sont décédés à ce moment... pas de moindres élèves : des Tanaim, représentant une force spirituelle énorme que le Klal Israël a perdu ! C’est une période où l’on doit particulièrement travailler ses bonnes Midot, humilité, miséricorde et amour du prochain... pour devenir apte à recevoir la Torah !
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