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CHAPITRE VII Le numérique dans le collage indirect attaches orthodontiques

Les tubes sont ensuite collés pour ce cas en méthode directe et l’arc choisi est inséré après
dépose du système Nola [FIG. 12].

Figure 12 : Schéma du protocole de collage des attaches orthodontiques.

Il existe un surcout par rapport à un protocole classique alginate/plâtre, mais pas pour un
praticien qui serait déjà équipé en numérique avec une caméra optique et une imprimante 3D
pour d’autres raisons que le collage indirect. Enfin, par rapport au collage indirect convention-
nel, la précision semble supérieure grâce à des mesures très précises du logiciel sur chaque
dent. Le protocole est également moins chronophage avec de nombreuses étapes réalisées
par l’ordinateur, le praticien pouvant simplement valider le positionnement des attaches et
déléguer la réalisation de la gouttière à une assistante formée .
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L’arrivée massive du numérique implique un changement d’interface qui oblige à reconsi-
dérer la place du praticien. L’intelligence artificielle évolue de jour en jour et le praticien doit
garder le contrôle sur ses traitements au risque de s’y perdre. Seul l’humain est doté du sens
critique et du pouvoir d’évaluer le poids des différents paramètres qui lui sont proposés.
Le praticien doit adapter ses protocoles et ses pratiques pour réussir à s’immerger et interagir
avec cette virtualité. Il doit se former (notamment avec des logiciels d’apprentissage) afin de
suivre une courbe d’apprentissage et maitriser l’outil informatique, les logiciels doivent, de
leur côté, également évoluer afin d’apporter la meilleure ergonomie au praticien.
L’idéal du positionnement de demain serait la combinaison entre positionnement virtuel des
attaches orthodontiques et CBCT pour visualiser au mieux les axes dentaires, mais il faut
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réussir à réduire les irradiations dans un souci de radioprotection.

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