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Utilisation de logiciels « fermés-ouverts »


               4.2.2  Exemple d’un volume acquis par CBCT
               Ils existent beaucoup d’autres types de fichiers de modélisation 3D. La liste ci-dessus est
               donc loin d’être exhaustive [FIG. 15] : STL, PLY, OBJ, FBX, COLLADA, 3DS, IGES, STEP et
               VRML/X3D…






















                                      Figure 15 : Différents formats informatiques 3D.






               5.  Utilisation de logiciels « fermés-ouverts »


               Certains logiciels et applications  sauvegardent  leurs fichiers 3D dans un format qui leur
               est propre avec une extension purement dédiée au logiciel d’exploitation.  Ce blocage se
               produit souvent au démarrage de nouveaux logiciels et procédés de fabrication (par exemple,
               SIEMENS et son Cerec ou fichiers AUTOCAD orthodontiques au début de sa commercialisa-
               tion (1998)). Ces logiciels étaient alors qualifiés de « fermés ».
               Aujourd’hui,  les logiciels  d’acquisition  et de simulation  et les procédés  de fabrication  ont
               tendance à s’ouvrir. La récupération des fichiers 3D peut se faire dans un format d’exploita-
               tion standard comme le STL ou le DCM 3D.

               Cette fonction d’export de fichier, même si quelquefois limité à certaines étapes, est absolu-
               ment indispensable pour que les chirurgiens-dentistes puissent rester libres et propriétaires
               de leurs documents médicaux ! Ce sont des logiciels dits « ouverts ».
               Cette fonction d’export  ne serait pas vraiment intéressante si, en parallèle,  les logiciels
               n’étaient pas pourvus de fonction « import » afin de pouvoir se servir de ces fichiers avec les
               outils spécifiques du logiciel choisi !
               De la sorte, plusieurs types de logiciels peuvent s’utiliser en dentisterie et en orthodontie. Les
               logiciels professionnels pour la dentisterie ont l’avantage de présenter des fonctions et auto-
               matismes aboutissant à des « produits clef en main », mais ils restent restrictifs en fonction
               des seuls outils proposés par l’éditeur (restriction qui peut être levée par la fonction export ).
               Le logiciel devient alors un véritable outil de sous-traitance qui peut même servir de support
               d’échange avec des laboratoires de fabrication prothétique.
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