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Je me dis toujours que Hugo est l’écrin de la poésie et
Rimbaud le joyau.
En fait, Arthur ne se pose pas la question d’être poète ou
d’écrire d’écrire de la poésie. Normal. Il est la Poésie. Celle-ci
n’est pas qu’écriture, elle a tous les aspects, les habits… On
pourrait considérer que Arthur c’est l’anti-poète…
Pour ma part, je ne supporte pas ce triptyque de poètes :
Arthur (anti-poète), Paul (poète maudit) et Charles (poète
authentique).
Je crois que les nus d’hier et d’aujourd’hui sont les mêmes…
hier comme aujourd’hui on embellissait… mêmes si les corps
ont évolué à différentes périodes… la recherche du beau, a et
restera d’actualité… les outils changent mais les regards ne
changent pas…
Entre le fantastique et le conte, entre la poésie et la prose
poétique entre les arrondies des nuanciers de la narration et la
verticalité d’une pluie poétique aérienne entre les élans des
sentiments presque lyriques et le romantisme défiant la
nature… ce tout s’imbrique comme une œuvre originale d’une
âme amoureuse…
Tout est là… et le temps ronge, ronge, et les mots sont toujours
vivants… nous c’est moins sûr…
Ce temps liquide… goutte-à-goutte… combien de temps à
tenir ?…
1 – Diantre… c’est copieux et au regard interconnecté à votre
dernier commentaire, je suis avec moi-même et ma pensée de
service à cette heure à : « nous laisser bouche bée » sur les
frémissements d’idées dont l’ancienne fait son apparition.
Alors, nous pourrions dire : « c’est dans les vieux pots qu’on