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l’in rmité lumineuse de ceux qui ont dans le crâne des rêves trop grands et, dans le regard, la beauté des hommes insatiables.
Comme le cliché d’une photo argentique, rehaussée de couleurs pastels, a n d’accentuer un drame latent noué par un camaïeu grisâtre, elle s’avance craintive vers son destin, sous la voûte absidiale de son voile vert semé de traces
rouges.
Son iris transparent de chat en-grillagé, hésite, questionne l’environnement. Je lui fais signe de ne pas s’avancer dans le silence âcre, obscur et froid, comme
une marraine bienveillante l’aurait fait. Trop tard. Elle n’eut pas l’énergie de rebrousser chemin...
Les cloches de l’église amboyante sonnent le glas.
Laurent Gaudé (2009–2011)
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