Page 94 - Correspondance coloniale
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Profiter encore de l’ambiance près des baigneurs,
Puis partir vers un autre lieu.
Au bord de l’eau, les jeunes Pataugeurs de la vie.
Ils pataugent et vivent leurs expériences palpitantes.
Ils s’amusent avec les brindilles,
Dans l’écume des vagues.
Régulièrement bousculés par les vagues,
Ils tiennent bon.
Passent les épreuves, survivent aux tribulations.
« Ainsi va la vie, on supporte ce quotidien difficile,
En attendant que la mort nous offre le repos.
Quelques fois, il y a des accalmies.
On peut alors patauger plus sereinement dans l’eau basse.
Cela ne dure jamais très longtemps,
Mais nous sommes forts, nous tenons bon. »
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