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L’ANTIQUITE
Constance II (361 ap. J.-C. ), bien que mort
de maladie, fut confronté à de nombreuses
conspirations.
Julien (363 ap. J.-C.) , dernier empereur de
la dynastie, fut tué lors d ’ une campagne
contre les Perses, possiblement victime d ’ u n
assassinat politique.
Les empereurs des crises
La dynastie des Antonins
du IIIe et IVe siècle
( 96-192 ap. J.-C.)
De nombreux empereurs sans dynastie stable
Commode (192 ap. J.-C. ), dernier empereur furent assassinés, comme Aurélien (275 ap.
des Antonins, fut étranglé par son entraîneur, J.-C. ), trahi par ses propres officiers.
marquant la fin de la dynastie et plongeant Chaque assassinat affaiblissait la continuité
l'Empire dans une guerre civile. dynastique, rendant l ’ Empire vulnérable aux
guerres civiles et aux intrigues.
La dynastie des Sévères
( 193-235 ap. J.-C.) Conclusion
Caracalla (217 ap. J.-C. ) fut tué par l ’ un La plupart de ces assassinats reflètent les ten-
de ses gardes alors qu’ i l était en campagne sions internes de l ’ E mpire romain, où la soif
militaire. de pouvoir et les luttes politiques dominaient.
Élagabal (222 ap. J.-C. ) fut assassiné par la Ces empereurs, malgré leur autorité suprême,
garde prétorienne après une série de réformes étaient loin d ’ être à l’ a bri des complots et
controversées. des trahisons.
La dynastie des Gordiens
( 238-244 ap. J.-C.)
Gordien III fut probablement assassiné par
son préfet du prétoire, Philippe l ’ Arabe, qui
prit ensuite le pouvoir.
La dynastie des Constantiniens
( 306-363 ap. J.-C.)
