Page 3 - Carnet de route-Mon Chemin
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ne puis demeurer faire m'en dissipés sont
Je parisiens ne m'ont pas perturbée. Une halte allait-il se doutes
montagne. vallonné ces
par la paysage Ce puis Et
forêt, j'irai l'esprit. rivière. en
la les bouchons promu
y chatouiller
a par
l
ze J'irai me ruisseau
Vé le
vite détendue, venu
à ne m'attend. J'ai quitté la région un lundi matin après avoir déposé mon fils à l'école et être passée boire un café chez mon amie d'enfance. Pas d'an-
est passer
e baver ? Les trombes d'eau qui se sont abattues depuis des jours vont ils laisser le chemin praticable ? Les gués gonflés par les pluies allaient-ils
é
v doute pour
i
r sentie très
r sur une aire de repos a même été nécessaire sous la pression de mes paupières ankylosées. Le voyage avait déjà commencé. de
a que personne
défroquer
n soupçon après avoir fait connaissance avec les ruelles, les pavés. Je me sentais déjà imprégnée de l'ambiance du chemin.
o suis
M me me
sais un
1 je je de
J
vois tu, abbatiale, train en
partirai, si peu. Étonnamment, cité l'ancienne m'imaginais
dès l'aube je peu, très peu, de Je ?
Demain loin de moi plus longtemps. » portes aux franchissables
« ou xiété, Arrivée être

