Page 4 - Carnet de route-Mon Chemin

chlorophylle tout au autour, à se- mots les que matin Ces temps. le avec

la ce pas savais disparaît qui
vert, de ne caisse

Du Je de
chemin. beauté. ticket le

de
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a comme
b beaucoup d'enseignement de ce émerveillée Le chemin est gras m'avait prévenu des touristes, effectivement il est plus que gras, il est inondé. Je me rabats donc dans les champs de
360. Le soleil me fait l'honneur d'être de la partie. Et puis les sons, les odeurs, l'eau, les oiseaux, la voix d'un vieux monsieur qui s'arrête pour me proposer son aide. La tentation de m'arrêter toutes les trente secondes pour mettre sur écran toutes les offrandes de la nature, les traces laissées par l'homme. Les balises ont été mon repère. Le GPS a vite été rangé. Je préfère me fier aux indications de l'homme p
-
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tirer enfance. On oublie vite le poids du sac à dos qui était la première préoccupation durant les premiers mètres.
2
J mon souvenir
savais que j'allais de fleurs le que

je les pour oublier, Non absolument pas ! Ou la gadoue, la gadoue, la gadoue...
mètres chemin le pas

les premiers sur retrouve raient aussi fluides. La nature permet ça. Et au milieu coule une rivière. ne pour

Dès Je J'écris sur le dos !

tils.