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Transport routier de voyageurs / MARCHÉ
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est au maximum de 53, en tenant compte des 4 places à assise relevable situées dans l’emplacement pour usager en fau- teuil roulant. Quelques cars de ce type ont été équipés de racks à l’intérieur pour le transport des bagages volumineux, une solution qui diminue toutefois le nombre de places assises. Pour le transport des vélos, certains exploitants ont choisi d’ins- taller des emplacements à l’intérieur, une alternative aux racks fixés à l’arrière qui ont l’inconvénient d’augmenter la longueur du porte-à-faux. Ces aménagements sur- mesure sont proposés par des sociétés spécialisées, comme par exemple la Car- rosserie Vincent.
Le développement des cars low- entry en France
Irisbus a lancé son Crossway LE fin 2007 en France. Ce modèle, qui est désormais commercialisé sous la marque Iveco, est le leader du marché avec deux-tiers des immatriculations. Son challenger est l’al-
lemand Setra avec les modèles LE busi- ness de la gamme MultiClass 400 (20 % de ce marché). En quinze ans, en- viron 1 500 autocars low-entry ont été im- matriculés en France. Ce segment de mar- ché reste marginal, représentant moins de 5 % des ventes d’autocars. Ces véhi- cules circulent principalement en Île-de- France (sur des lignes express), autour des métropoles du département
du Nord, de Mont-
pellier, de Nantes, de Lyon, de Marseille, de Strasbourg, de Perpignan, de Grenoble, de Rennes, de Cherbourg, ainsi que dans certaines stations de montagne pour des services skibus et à la Réunion.
Les lignes de prédilection de ces autocars sont plutôt courtes, avec de nombreux arrêts et une clientèle pendulaire. Dans
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Otokar Vectio U LE