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avions et les pilotes disparurent.
À 10 h 25 du matin, l’amiral Nagumo, certain de remporter
une victoire spectaculaire, ordonna à ses avions de combat
d’attaquer les porte-avions américains et de leur porter le coup
fatal.
· Littéralement venus de nulle
part
C’est alors que le Lieutenant Commandant Wade McClusky et
son escadron de bombardiers fondirent sur leurs cibles en
plongeant en piqué de plusieurs centaines de mètres de haut avant
de larguer leur charge mortelle, de sorte qu’ils semblaient
littéralement venir de nulle part !
Les Japonais ne parvinrent à les intercepter, car leurs « Zeroes »
(avions de combat) étaient encore en pleine offensive contre
les bombardiers-torpilleurs américains. Les bombardiers de
McClusky avaient donc le champ libre pour opérer. Ils piquèrent
sur les porte-avions japonais dont les ponts étaient emplis de
bombes empilées les unes sur les autres, et dont les avions encore à
Le jour le bord étaient chargés d’explosifs et de supercarburant.
· Cinq minutes qui changèrent le
plus long cours de l’Histoire
« J’ai tout d’abord entendu le bruit terrible du bombardier, se Le miracle de Midway
souvient un officier japonais du porte-avions Akagi, suivi de
l’explosion assourdissante d’une frappe directe. Puis, il y a eu un
éclair aveuglant suivi d’une seconde explosion, bien plus forte que
la première. J’ai été horrifié en constatant l’ampleur des dégâts
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