Page 27 - Livre-MEYTAL
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Parler à Hachem
environnement et ses prochains, il ne peut pas non plus avoir de relation avec HaKadoch Baroukh Hou.
Dans toutes les générations, les Hakhamim nous ont demandé de nous éloigner spécialement de la tristesse. En période de deuil, nous suivons effectivement les décrets de deuil ordonnés par la Torah qui nous demande de ressentir la peine et de l’exprimer. La peine est un sentiment que l’homme ressent face à la perte d’un être aimé. Cette peine est alors un sentiment vrai. Elle est justifiée et nécessaire pour être sain d’esprit. La peine du deuil est donc normale sur le moment. Mais la Atzvout contient en elle des éléments qui ferment complètement l’homme. Tel que le désespoir, le pessimisme... ‘Hazal ont donné un temps pour le deuil, dans les Halakhot de Evel, afin que l’homme ne tombe pas dans la tristesse.
Certaines personnes ressentent au cours de leur Téchouva un sentiment très dur de tristesse envers leur passé. Mais il faut savoir que cette sensation de peine est à assumer en un sens, mais pas dans le sens de la tristesse. Cette sensation de malaise ressenti au sujet de tous les manques créés par sa conduite passée, et éveillée par la rupture avec toutes ces mauvaises habitudes. Il faut l’utiliser pour lui donner la force et la volonté de tout réparer ! Alors que tomber dans la tristesse annihilerait toutes ses forces. En s’abîmant dans la tristesse l’homme se forge un dessein contre-productif et erroné.
La réparation des fautes par la tristesse n’est ni compatible, ni possible.
Rabbi Na’hman de Breslev dans Likouté Moaran a dit combien l’homme, en voulant approcher HaKadoch Baroukh Hou, doit faire attention à la tristesse car à se complaire dedans il peut perdre tout son monde ‘Has ve Shalom ! La majorité des hommes qui sont éloignés de la Torah, c’est à cause de leurs dées noires, de leur
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