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Q 12. Un processus métier est : Q 18. La cartographie des risques opérationnels est :
A. Une zone de risques. A. Un tableau de bord.
B. Une opération engendrant des risques opérationnels. B. Un outil de gestion des risques.
C. Un ensemble de taches coordonnées en vue de fournir un C. L’ensemble des pertes liées aux risques opérationnels.
produit ou service à la clientèle. D. L’ensemble des situations de risques au sein d’une
D. Un découpage de l’activité de la banque. organisation.
E. Aucune bonne réponse. E. Aucune bonne réponse.
Q 13. La vitesse de l’innovation technologique liée aux Q 19. Les principes 1,2 et 3 de l’accord de Bâle 2 encadrent :
ordinateurs et aux télécommunications, ces dernières
années, et l’intégration d’opérations automatisées rendent A. « L’élaboration d’un environnement adéquat pour la gestion
les banques de plus en plus dépendantes de la fiabilité et du risque » dans le cadre des saines pratiques de gestion
des risques opérationnels.
de la continuité de leurs systèmes informatiques :
B. Le rôle des autorités financières dans la prévention du
A. Risque de non-conformité. risque.
B. Les risques liés aux systèmes informatiques et de C. Les obligations des banques en matière des reportings.
télécommunications. D. La communication financière.
C. Le risque juridique. E. Aucune bonne réponse.
D. Le risque de réputation ou risque d'image.
E. Aucune bonne réponse. Q 20. Le principe 10 de l’accord de Bâle 2 encadre :
A. Le rôle de la communication financière.
Q 14. Ne fait pas partie des mécanismes de couverture des
risques opérationnels : B. Les méthodes de calcul des exigences en fonds propres.
C. Le contrôle interne des établissements de crédit.
A. Les mesures de prévention sur les occurrences. D. Le rôle du régulateur.
B. Les mesures de prévention sur les impacts. E. Aucune bonne réponse.
C. Les mesures de contrôle.
D. Les assurances. Q 21. Les pondérations de crédit prises par l’accord Bâle I pour
E. Aucune bonne réponse. les risques figurant au bilan pour les créances sur les
Etats de l’OCDE sont :
Q 15. L'exigence minimale de fonds propres fait partie du :
A. 5%.
A. Pilier 1. B. 3%.
B. Pilier 3. C. 1%.
C. Pilier 5. D. 0%.
D. Pilier 6. E. Aucune bonne réponse.
E. Aucune bonne réponse.
Q 22. La falsification, par un client de la banque, de la
Q 16. La méthode la plus bénéfique pour les banques est la certification d’un chèque est à classer dans :
méthode :
A. Fraude interne.
A. Indicateur de base. B. Clients, produits, pratiques commerciales et
B. Standard. réglementation.
C. AMA. C. Exécution livraison et gestion des processus.
D. Indicateur de base et AMA. D. Réputation.
E. Aucune bonne réponse. E. Aucune bonne réponse.
Q 17. Dans un dispositif de gestion des risques opérationnels, Q 23. La mise en place d’une réglementation prudentielle en
le référentiel des unités organisationnelles est : matière de risques ne vise pas à :
A. Figé. A. Eviter les défaillances individuelles des
B. Stable. établissements financiers.
C. Non modifiable. B. Limiter le risque systémique (la défaillance d’un seul
D. Evolutif. établissement financier peut conduire à une contagion aux
E. Aucune bonne réponse. autres établissements financiers suite à une panique
financière).
C. Encourager l’adoption de saines pratiques de gestion des
risques.
D. Favoriser le développement des marchés de gré à gré.
E. Aucune bonne réponse.
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