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Q 30. Un risque opérationnel associé à un risque de crédit donne :
Q 24. La gravité d’un risque opérationnel se mesure selon :
A. Un risque de crédit.
A. La fréquence de survenance de l’événement de risque. B. Un risque opérationnel.
B. La fréquence de survenance de l’événement de risque et C. Un risque frontière.
son impact. D. Un risque exceptionnel.
C. L’impact de la défaillance. E. Aucune bonne réponse.
D. L'impact de la défaillance et la fréquence de survenance de
l’événement de risque. Q 31. Parmi les deux exigences que doit respecter le ratio Cooke :
E. Aucune bonne réponse.
A. Fonds propres / ensemble des engagements > 40%.
Q 25. Impact que peut avoir une erreur de gestion sur l'image B. Fonds propres / ensemble des engagements > 60%.
d'une organisation : C. Fonds propres / ensemble des engagements > 4%.
A. Risque de non-conformité. D. Fonds propres / ensemble des engagements > 6%.
B. Les risques liés aux systèmes informatiques et de E. Aucune bonne réponse.
télécommunications.
C. Le risque juridique. Q 32. Le pilier 2 de la réforme de Bâle 2 traite :
D. Le risque de réputation ou risque d'image. A. Des exigences minimales en fonds propres.
E. Aucune bonne réponse. B. De la surveillance des procédures internes de mesure, de
contrôle et de gestion des risques.
Q 26. Risque de sanction - judiciaire, administrative ou C. De l’instauration d’une discipline de marché.
disciplinaire - de perte financière ou d’atteinte à la
réputation, du fait de l’absence de respect des D. Du risque de crédit.
dispositions législatives et réglementaires, des normes et E. Aucune bonne réponse.
usages professionnels et déontologiques, propres aux
activités des banques : Q 33. La réforme Bâle II s’articule autour de :
A. Risque de non-conformité. A. 2 piliers.
B. Risques liés aux systèmes informatiques et de B. 3 piliers.
télécommunications. C. 5 piliers.
C. Le risque juridique. D. 7 piliers.
D. Le risque de réputation ou risque d'image. E. Aucune bonne réponse.
E. Aucune bonne réponse.
Q 34. Les mécanismes de couvertures des risques
Q 27. Un détournement de fonds perpétré par un agent de la opérationnels sont au nombre de :
banque est à classer dans : A. 3 mécanismes.
A. Fraude externe. B. 4 mécanismes.
B. Dommages aux actifs corporels de la banque. C. 5 mécanismes.
C. Exécution livraison et gestion des processus. D. 8 mécanismes.
D. Réputation. E. Aucune bonne réponse.
E. Aucune bonne réponse.
Q 35. Les pondérations de crédit prises par l’accord Bâle I pour
Q 28. Risque de survenance de litiges susceptibles d’engager la les risques figurant au bilan pour les créances les
responsabilité de l’établissement de crédit du fait banques et les collectivités locales de l’OCDE sont :
d’imprécisions, de lacunes ou d’insuffisances dans les
contrats et autres actes de nature juridique le liant à des A. 40%.
tiers : B. 30%.
C. 20%.
A. Risque de non-conformité.
B. Les risques liés aux systèmes informatiques et de D. 10%.
télécommunications. E. Aucune bonne réponse.
C. Le risque juridique. Q 36. L’approche de base consiste à allouer à la couverture des
D. Le risque de réputation ou risque d'image. risques opérationnels :
E. Aucune bonne réponse.
A. Un montant fixé par la banque elle-même.
Q 29. Dans la réforme de Bâle 2, les événements du risque B. Un pourcentage forfaitaire de 15 % du PNB moyen des 3
opérationnel ont été classifiés en : dernières années.
A. 5 catégories. C. Un pourcentage forfaitaire de 18 % du PNB moyen des 3
B. 7 catégories. dernières années.
C. 9 catégories. D. Un pourcentage forfaitaire de 10 % du résultat net de
l’exercice.
D. 10 catégories. E. Aucune bonne réponse.
E. Aucune bonne réponse.
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