Page 161 - Lermina, Jules (1839-1915). Science occulte, magie pratique, révélation des mystères de la vie et de la mort. 1890.
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CHAPITRE III


                 LE PRINCIPEPREMIER



       C'est cette double connaissance  que  l'homme
     curieux de  science)  dans la noble et  parfaite  ac-
     ception  du  mot,  non  pour  se  singulariser  auprès
     de ses  contemporains  ni  pour  obtenir des  pouvoirs
     dont il ferait un  usage égoïste  et  étroit,  doit s^ef*
     forcer  d'atteindre,  méthodiquement»  sans hâte.
     Ce  qu'on appelle  communément  rame, appartient
     au  plan astral,  en ce  que  l'aine n'est  qu'un
     réservoir d'idées,  de souvenirs et de  sensations)
     de faits moraux dont le  principe  se trouve dans
     l'Esprit  seul en l'Unité à la fois  synthétique  et
                                      '
     synthétisée»
       Peu d'hommes connaissent  leur àme : moins
     encore en sont mailres. On ne sait  pas  abstraire
     ses idées  pures  des faits d'ordre inférieur et ma*
     tèriel. On ne  conçoit  l'idée  que  liée à une mani»
     festution d'ordre  physique*  à un besoin du  corps»
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