Page 19 - Bulletin, Vol.82 No.3, December 2023

Les expériences menées dans les écoles montrent donc clairement que le dioxyde de
carbone produit par l'homme ne provoque pas d'augmentation de la température de
l'air. Seule la correction de la concentration a été ignorée jusqu'à présent. C'était
intentionnel ?

D'un point de vue physique, il n'y a rien à redire à l'expérience décrite. Nous devons
cependant nous résoudre au fait,
qu'il n'y a pas d'origine humaine à l’augmentation de la température de la
troposphère.

Ces résultats expérimentaux si clairs prouvent que l'opinion actuellement en vigueur sur
le dioxyde de carbone repose sur une erreur fondamentale et que tous les efforts visant
à réduire la concentration de CO2 sont donc un gaspillage inutile. D'innombrables
milliards de dépenses prévues à cet effet seraient réinjectés dans le budget général de
l'État. Et le prix du kWh d'énergie électrique baisserait automatiquement de manière
drastique.

Le dioxyde de carbone, y compris celui d'origine anthropique, n'est pas
un gaz climatique !

Albert KÖHLER M.Sc. 8.11.23

MES FAVORIS A LYON

Par Bruce COHEN

Comme certains d'entre vous le savent, j'aime la
nourriture sous (presque) toutes ses formes et
l'endroit où j'aime pratiquer cet art est certainement
Lyon. Lyon a certains avantages pour moi car ma
femme Claire a un appartement dans le 9 ème
arrondissement. Mon approche de la grande bouffe
est la mienne, je n'impose donc pas mon style à
quelqu'un d'autre. Malheureusement, l'âge nous
rattrape tous et je me suis plus ou moins adapté à la
réalité. Finis les déjeuners à quatre ou cinq plats avec
des apéritifs suivis d'une bouteille de vin. J'aime avoir
faim et mon moyen d'y parvenir est de faire 60 à 90
minutes de course à pied avant d'aller au bistrot.
Bistrot, direz-vous, mais pourquoi pas un grand
restaurant étoilé ? La réponse se trouve dans mon
corps de 85 ans qui ne peut pas ingérer plus de deux
kilos de nourriture.
Une entrée plus un plat me suffisent. Alors, où est-ce que j'aime aller à Lyon ? Pendant
de nombreuses décennies, j'ai dû tester le dernier endroit à la mode en ville. Ce n'est
plus le cas aujourd'hui. Je compte mes jours et j'en aurai peut-être encore 15 000, si j'ai

AAFI-AFICS BULLETIN, Vol. 82 No.3, 2023-12 17

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