Page 6 - Travail à la maison
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Régent Bilodeau, BILR18046408- POL- 1601 GR-10,
Les droits ancestraux des peuples autochtones, après 1982.
Les droits ancestraux, bien que fut adoptés dans le livre blanc de 1969, non
pratiquement pas changés entre 1969 et jusqu’à la signature de la reconnaissance des droits
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ancestraux issus de traités dans la constitution de 1982. C’est presque « un cliché que
d’affirmer l’importance des changements dans la relation entre les peuples autochtones et
l’État canadien » ce traité proposait (Martin Papillon, P.461) « l’abolition du statut d’indien
afin de faire des Autochtones des citoyens comme les autres ».
Ce n’est que par des pressions soutenus de la part des peuples autochtones que
finalement, ils ont commencé à être reconnue, du moins en partie.
Ce n’est que depuis la négociation de traités moderne au Québec, en Colombie-
Britannique, au Yukon, au labrador et finalement l’ajout du Nunavut en 1999, qu’il y eu
un véritable effort de l’État canadien de reconnaître les peuples autochtones comme un
peuple, ayant droit aux territoires dont ils réclament les droits ancestraux. Cependant, il
n’est certes concluant, encore aujourd’hui, que les peuples autochtones peuvent gérer leur
administration tous seul, d’ailleurs (Martin Papillon, P. 462) « la loi sur les indiens, avec
son système de mise en tutelle administrative, comme principale mécanisme de
gouvernance », le démontre bien.
Les peuples autochtones revendiquent un plus grand contrôle sur l’utilisation du
territoire, sur leur destinée, ainsi que le droit de déterminer librement leurs destinées
politiques, en fait, une plus grande autonomie, et ils cherchent à se débarrasser de cette
colonisation interne. Dans le livre « Le fédéralisme canadien contemporain » Les auteurs
se sont penchés sur les fondements, les traditions et les institutions. Ils nous guident dans
l’explication des contraintes fédéralismes canadiennes envers les peuples autochtones et
de l’ouverture de l’État canadien plus sur les plans juridiques et politiques.
Il est très complexe de discuter, ou de clarifier les droits ancestraux des autochtones,
dû aux multiples peuples qu’ils représentent. Nous avons les Premières nations, les métis,
les Cris, les inuits, les Nuu-chah-nulth, le peuples Wendake, etc. Certains d’entre eux
signataires des traités ont des conditions différentes. Leurs ancêtres ayant négociés avec
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