Page 20 - Gazette ADIVAS n°33 automne 2023

d’avoir des compétences en gestion notamment pour assurer la pérennité de l’entreprise.
Il faut essayer d’être à l’affût des différents événements organisés, il faut essayer d’être au maximum visible. Les salons professionnels peuvent être aussi propices pour développer son réseau, mais attention il en existe beaucoup, il faut trouver celui qui sera le plus pertinent pour son activité.
Le réseau permettra de se faire connaitre, de discuter des échecs, des solutions et surtout de rompre avec l’isolement. Il permettra aussi de trouver les futurs éventuels partenaires.
Un porteur de projet dans un nouveau réseau devra parler de son idée avec la difficulté d’éviter que son idée soit appropriée par quelqu’un d’autre. Il faudra trouver l’équilibre entre donner assez d’informations pour expliciter son projet sans trop en divulguer.
agricoles n’y sont pas à part quelques exceptions. Et pourtant on peut considérer que les porteurs de projet agricole sont des entrepreneurs, ils auront une entreprise à gérer. Toutefois, il existe d’autres dispositifs d’accompagnement à l’installation agricole. Et puis ce sont des projets s’implantant généralement dans les territoires plus ruraux.
Les métropoles peuvent accueillir des projets type agriculture urbaine et maraîchage. Et notamment avec le projet national de ceinture verte autour des agglomérations, les projets maraîchers sont amenés à être plus nombreux. Le but de ce grand projet est de minimiser le risque à l’installation en maraîchage et ainsi de pérenniser cette activité.
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CR : Il existe un réseau spécifique pour les étudiants via la structure « PEPITE » avec des rencontres organisées avec des entrepreneurs. Certains pourront avoir accès à la pépinière Pascalis à Clermont en accord avec leur accompagnateur chez PEPITE.
Pour en savoir plus sur les pépinières de Clermont Auvergne Métropole.
Et pour nous contacter :
pepinieres@clermontmetropole.eu
AH : Merci beaucoup pour toutes ces informations !
Anaïs Hubert
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CR : Il y a quelques anciens qui gardent contact, qui sont fidèles à la pépinière, et qui reviennent dans les locaux. De cette manière, ils vont donner des conseils aux porteurs de projet. Mais il n’y a pas spécialement un réseau spécifique « les anciens de la pépinière ».
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Un porteur de projet dans un nouveau réseau devra parler de son idée avec la difficulté d’éviter que son idée soit appropriée par quelqu’un d’autre. Il faudra trouver l’équilibre entre donner assez d’informations pour expliciter son projet sans trop en divulguer.
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La gazette des diplômés – La revue de l’ADIVAS – N°33
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