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De l'incertitude à la concrétisation

Pour ce faire, il faut :
1. La charge de travail correspondant à la réalisation de
l’ensemble des tâches.
2. Ajouter les temps de tests ou de vérification.
3. Ajouter, si nécessaire, le temps d'intégration.
4. Ajouter les temps de réunion et de contrôle.
5. Ajouter un temps de réserve (5% du temps total).

4. Gestion du retard éventuel
Prenons comme hypothèse que le projet a pris du retard.
Dans un tel cas, la plupart des gestionnaires de projet vont
procéder à une mise à jour du planning général du projet.
En pratiquant de la sorte, c’est toute la suite du projet qui est
modifiée, avec toutes les répercussions qui vont en découler au
niveau des dates de réservation de ressources, de matériel, de
machines…
Concrètement, il est préférable de ne pas modifier le planning
général du projet et de créer un planning parallèle qui ne reprend
que les éléments concernés par le retard.
Donc, à compter de cet instant, il y a 2 plannings à gérer, et ce
jusqu’à la résorption complète du retard.
Cette approche autorise la prise de décisions spécifiques pour le
planning "Retard".
On peut ainsi décider d’augmenter les ressources, de changer
l’affectation de certaines tâches à d’autres ressources (domaines de
compétences) …
Dès que le retard est résorbé, on revient à la gestion d’un seul
planning.

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