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-Tu es déjà si fort Louis, j’espère que je serai digne de

               toi.
               Louis éclate de rire.

                      - non-cousin, digne de ton père et de ta maison, c’est cela

               qui compte.

                < Au balcon, Angélique observe les deux jeunes hommes, elle

               sourit doucement, Arnaud qui la rejoignait,
                      -regarde les mon époux. Ils sont comme deux frères. Je

               crois que sous leurs garde, Montgey et Nogarède ne craindront

               rien.


               Arnaud acquiesce.

                      - Oui : Louis, l’aspirant et guillaume l’écuyer.

                      Deux flammes qui un jour deviendront lumière.


               Louis en tunique courte et armé de sa lance d’entrainement,

               selle lui-même son destrier. Guillaume nerveux mais

               déterminé, peine a ajusté la bride de sa monture.


               Le vieux Aimate s’approche, grognant.
                      -Trop lâche, ton nœud si le cheval prend peur, tu seras par


               terre avant même d’avoir crié. Recommence.

               Guillaume recommence sous le regard encourageant de Louis.

               Lorsque tout fût prêt Arnaud de Montgey apparût dans la cour,
                                                                                                                RENA - Les Compagnons Forgerons
               cuirasse légère sur les épaules et lance en selle.





















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