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sente chaque année au départ de la ville normande via six es- cales e ectuées par trois navires. Par ailleurs, pour o rir plus de choix à ses passagers en termes d’acheminement aérien, la com- pagnie éto e la proposition de vols directs pour rejoindre Venise en 2018 depuis Paris et la pro- vince. En optant pour la formule « vols + croisières Costa », les passagers peuvent ainsi pro ter de nouveaux vols directs « à des tarifs très compétitifs ». Et ce, depuis Paris (Roissy et Orly) et de grandes villes françaises (Bor- deaux, Lyon, Marseille, Nice, Bâle/Mulhouse, Nantes et Tou- louse) pour rejoindre Venise et mettre le cap sur la Grèce lors de croisières d’une semaine.
Et puis, Costa Croisières fêtera ses 70 ans en 2018 ! Des promo- tions, des programmes spéciaux, des activités et des services se- ront proposés à cette occasion, et ce tout au long de l’année.
Développement durable : Costa s’engage
Les travaux de construction du nouveau navire Costa Smeralda ont débuté le 13 septembre der- nier, il sera le premier de la com- pagnie à fonctionner au gaz na- turel liqué é et « le premier au monde à être commercialisé à grande échelle », souligne la
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morrow - En route pour l’avenir ». Ce document présente la stratégie et le programme de développe- ment durable mis en œuvre par le croisiériste italien, et décrit les principaux projets menés ainsi que les résultats obtenus en 2016.
MSC Croisières, du Sud au Nord
Alors qu’en 2016, MSC Croisières totalisait 177 000 passagers fran- çais, la compagnie estime qu’ils seront cette année 195 000. En 2018, elle proposera 141 départs de Marseille, 27 de Cannes... et 22 du Havre.
Des bateaux, encore des bateaux...
Au mois de juin 2017, MSC Croi- sières a inauguré au Havre le plus gros paquebot d’Europe, le Meraviglia : 315 m pour 167 600 tonnes et une capacité de 5714 passagers. « Ce bateau marque le début de la seconde phase de croissance pour notre compa- gnie », commentait alors Pier- francesco Vago, président exécutif de MSC Croisières. Une nouvelle commande de quatre bateaux supplémentaires a été faite au- près des chantiers STX de Saint- Nazaire pour un montant de 4,5 milliards d’euros. Durant les neuf prochaines années, la compagnie devrait ainsi acquérir dix navires, six sont attendus entre 2017 et 2020. « Et ainsi pouvoir accueillir près de cinq millions de croisié- ristes en 2026 contre 1, 7 million aujourd’hui », prévoit la compa- gnie.
Deux nouveaux navires sont éga- lement attendus : le MSC Sea- wiew qui sera déployé en Médi- terranée (la mise en service se fera en juin 2018, soit six mois après le MSC Seaside qui, lui, sera opérationnel en décembre 2017) et le MSC Bellissima en
> Lapériodepourvoirlesauroresboréalesa commencé et se poursuivra jusqu'à n mars 2018. Convaincu qu’elles apparaîtront pendant les voyages, Hurtigruten promet cependant que si aucune activité n’est enregistrée pendant les 12 jours, la compagnie offre une seconde chance de les voir l’année suivante dans le cadre d’un voyage de sept jours. La compagnie annonce également de nouveaux itinéraires en arctique et dans les eaux tempérées. a découvrir dans la brochure 2018/2019. en n, Hurtigruten a accueilli en octobre une nouvelle unité : le MS Roald Amundsen, propulsé par des moteurs hybrides et d’une capacité de 265 cabines. Jusqu’à mars, il effectuera des croisières en antarctique, en patagonie et dans les fjords chiliens. un second bateau identique est annoncé pour 2019.
compagnie. Il sera livré en octobre 2019, mais dès les premiers mois de l’année 2018 seront en vente les croisières en Méditerranée occidentale proposées. Un se- cond est attendu en 2021. Par ailleurs, « on va réduire la voilure à Venise avec un paquebot de moindre capacité », glisse Georges Azouze. Costa Croisières a publié la nouvelle édition de son rapport sur le développement durable intitulé « Sea you to-
12 - Voyages & groupe 09 - NOVEMBRE 2017
Grand angle