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Pour souligner la Fête du travail, l’AQMAT a demandé aux membres de plonger dans leur passé en témoignant de leur premier emploi. Voici leurs réponses.
« alors que j’avais ans, j’étais responsable, avec ma sœur cadette, de vider les cendriers et passer l’aspirateur dans notre magasin qui
portait alors la bannière dismat. maintes étapes ont suivies, travail à la caisse, facturation alors manuelle des livraisons, comptabilité... Aussi, notre terrain de jeu était la cour à bois, où nous escaladions les piles de bois, de styrofoam et de gypse avec chacune nos sept poupées ! surtout ne répétez pas ça à mes enfants ! »
Céline Boisvert
Directrice communication marketing chez Groupe coopératif Dynaco
« mon premier emploi avec un vrai chèque de paie (ce qui exclut l’époque où j’étais gardienne d’enfants) a été monitrice de terrains de jeux à charlesbourg. mais mon premier vrai emploi (c’est-à-dire que tu es confronté à la réalité du marché du travail et tes collègues ne sont pas tous des étudiants comme toi), a été au défunt croissant plus des Galeries de la capitale où j’ai découvert l’univers exigeant et fascinant de la restauration. »
Jean-Claude Déry
Coordonnateur marketing chez Groupe BMR
«mon premier emploi était chez towers, qui est devenu Bonimart, le compétiteur de miracle mart à l’époque.» *associés à la chaîne steingberg’s, les miracle mart sont disparus en 1992. ils vendaient une panoplie d’objets ; des vêtements aux outils.
France Forget
Vice-présidente, capital financier marketing
et humain RONA Forget Mont-Tremblant
Serge Forest
Représentant chez Moulures Alexandria
« J’étais emballeur chez métro et employé dans le département de la boucherie, à 16 ans. Je gagnais 3,75 $ l’heure. Je livrais aussi La presse, le montréal matin et le Journal de montréal,
tôt le matin. aussi, pour 10 $, je nettoyais l’intérieur et l’extérieur des taxis. »
François Gauthier
Directeur régional des ventes chez BP Canada
«À l’âge de 8 ans, j’ai été camelot pour le montreal Star. comme l’indique son nom, les clients qui lisaient ce journal étaient majoritairement anglophone et ma connaissance de cette langue était alors très limitée. Le coût hebdomadaire, soit pour les six journaux de la semaine, était alors de 0,35 $. Le vendredi ou le samedi, je devais rencontrer mes clients pour récupérer le coût. Lorsqu’il me devait une semaine je leur disais : thirty five cents et lorsqu’il me devait 2 semaines, je leur disais : two thirty five cents !»
Serge Gervais
Directeur de la quincaillerie de la Coop des Frontières
« J’ai été employé d’une ferme laitière. Je faisais un peu de tout, des travaux dans les champs aux soins des animaux. »
Robert Bédard
Vice-président, ventes et marketing chez Davidson
« Je lavais des paniers chez Woolworth. » * disparue dans les années 1990, la chaîne est considérée comme l’ancêtre de Walmart.
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