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L’empreinte optique en orthodontie




              La caméra ne fait que « regarder » les
              dents, la reconstruction 3D réside dans le
              travail complexe du logiciel basé dans l’or-
              dinateur. Cette deuxième génération de
              caméra présente comme avantage d’être
              plus petite, plus légère et moins fragile .
                                                 [7]

              Le scanner est donc bien plus un instru-
              ment de mesure qu’une simple caméra et
              vu sous cet angle cela en renforce d’au-
              tant la notion de précision.


              Actuellement plus d’une dizaine de scan-
              ners sont commercialisés en France,      Figure 2 : premiers systèmes intégrés sous forme de Kart destinés à l’empreinte
              la nécessité du poudrage a disparu, la   optique.
              capture se fait de manière fluide et en
                      [5]
              couleurs .



              LE CHOIX D’UN SCANNER

              Avouons qu’il est préférable d’avoir l’em-
              barras du choix, plutôt que l’absence de
              choix, mais devant la diversité de l’offre,
              l’établissement d’un cahier des charges
              s’impose. Les critères de sélection
              s’adressent autant à la partie matérielle
              que logicielle.

              Cet outil va rapidement devenir un       Figure 3 : Le kart ne permet pas toujours un placement idéal par rapport à
              instrument d’utilisation fréquente, il doit   l’opérateur obligeant celui-ci à des contorsions inconfortables.
              répondre  à des  conditions  d’utilisation
              ergonomiques et pouvoir s’intégrer dans
              l’environnement du cabinet.


                                                       également séduisante par la simplicité de
              Sur le plan du matériel                  configuration qu’elle représente.


              Il y a quelques années, la solution en kart  Mais ce système peut poser un problème
              (fig. 2) était la seule disponible, présentée  d’encombrement, et de positionnement
              par les forces de vente comme un avan-   par rapport au champ de vision de l’opé-
              tage permettant à la caméra d’être  rateur (fig. 3). L’existence d’une interface
              déplacée dans divers cabinets et par le fait,  tactile (souvent présente sur les karts)
              possiblement partagée entre plusieurs  impose la proximité de l’écran à portée
              praticiens. La solution « tout-en-un » est  de bras (de l’opérateur ou de l’assistante),




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