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84 [François-Joseph TALMA]. Ensemble de documents dont 9 imprimés brochés.
100/200
Brevet de la Garde Nationale de Versailles, pour un volontaire de la « compagnie Talma » signé par le capitaine
Talma, février 1791 (vélin oblong en partie imprimé avec gravures). - Réponse de François Talma au mémoire de la
Comédie française, Paris, chez Garnéry, l’an second (27 pp. in-8). – Talma, anecdotes et particularités concernant ce tragédien
célèbre (…), Paris, Ladvocat, 1827 (40 pp.). – Laugier et Mottet, Notice sur Talma, Paris, Duvernois, 1826 (30 pp.).
– Lestrade, De la Liberté religieuse en France, à l’occasion des funérailles de Talma (…), Paris, Pillet et Dellaunay, 1826
(48 pp.). – Tissot, Souvenirs historiques sur la vie et la mort de F. Talma, Paris, Baudouin fr., 1826 (77pp.). – Biéville et
Rédier, Talma en congé, 1842 (14 pp.). – Mellinet, Une conversation avec Talma, à Nantes en 1813, 1835 (pp.97-125).
– Villenave, Notice sur Madame Vve Talma née Vanhove (…), Meudon, Delacour, 1836 (28 pp.). – Mémoires de Pierre
Louette, jardinier de Talma, s.d. (64 pp. in-16). – Document notarié concernant la succession du citoyen Devalois
en faveur de Mme Mignolet, épouse de Talma. – Diverses notes historiques et de recherches inédites, coupures
de journaux sur des articles consacrés à Talma, gravures et portraits de Talma.

85 Jean-Jacques de TRIVULSE (Gian-Giacomo Trivulzio). 1440-1518. Condottiere qui s’illustra dans l’Armée
française lors de la première guerre d’Italie, fait Maréchal de France par Louis XII, gouverneur de Lyon.
P.S. « Johane-Giacob T. » Château de Thiran, dernier jour d’octobre 1511. Grand vélin (31,5 x 32 cm).
400/500
Roole de la monstre et revue faite aux châteaux de Thiran et Platemare, de 40 hommes de guerre pour la garde, seureté
et deffense d’iceulx, oubz la charge et conduicte de mons. le gruyer de Bourgogne leur cappitaine (…), suivi de la liste nominative
des hommes armées. Pièce certifiée par le Grand Trivulse, maréchal de France qui a suivi la revue.

86 Anne-Robert-Jacques TURGOT. 1727-1781. Economiste, gouverneur de la généralité de Limoges, ministre.
L.A.S. à M. Cornuau, Ingénieur de la Carte de France à Limoges. A Paris, le 29 avril 1769. 2 pp. bi-feuillet in-4,
adresse au verso.
200/300
Correspondance relative à l’avancement de l’établissement de la carte de l’Angoumois. Turgot recevra
avec plaisir le plan terminé de la banlieue de Limoges ; il ne se montre pas contre l’emploi d’un élève de Caillard ;
(…) Il est nécessaire que vous le mettiez au fait de la manière de travailler dans la carte de France et je pense qu’il serait avantageux
qu’il vous suivit dans le travail que vous allez faire sur la planche du Dorat. Il reviendrait ensuite joindre Mr Du Pain qui travaille
en Auvergne (…). Ils travailleront alors à vérifier la feuille de Limoges que le Sr Mickel avait levée toute entière à mon insu (…).
Après cette opération, ils pourront entamer la planche d’Ussel et de Tulle qui confine à l’Auvergne. Il donne des instructions
pour que le Sr de Lapresse rejoigne Pasquier, ingénieur de la généralité de Bordeaux, afin d’achever ensemble
la feuille de Périgueux pour la partie de l’Angoumois. Je sens la nécessité de prévenir les curés et les gentilshommes par des
instructions détaillées (…). Si dans les premiers momens vous avez besoin d’ordres pour rétablir quelques signaux, vous pouvez vous
adresser à Mr de Lépine (…).

87 Anne-Robert-Jacques TURGOT. 1727-1781. Economiste, gouverneur de la généralité de Limoges, ministre.
L.A. et L.S. au comte de Milly. Paris, 16 février & 27 avril 1775. 1 pp. in-8, 1 pp. in-4.
150/200
Turgot demande au comte de Milly de repousser sa conférence sur ses travaux de quelques jours, lui proposant
pour la même occasion un dîner à Versailles ; M. Turgot sera fort aise de connaitre le travail de Mr le Comte de Milli sur
le nitre, mais il est encore cette semaine chargé de trop d’affaire pressantes pour pouvoir suivre cet objet avec l’attention qu’il mérite
(…). Il adresse le passeport pour retirer de Dunkerque une machine pneumatique et la balance hydrostatique que le comte
a fait venir d’Angleterre. Je crois devoir vous prévenir qu’il est d’usage de faire convertir cet ordre en un passeport des fermiers
généraux qui vous sera délivré à l’Hôtel des Fermes à Paris (…).

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