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« normales », ils sont vraiment petits et presque tous de la
même taille. Et puis, on ressent aussi la douleur des
personnages comme Donald sur la roue à aube du bateau River
Witch des Rapetou dans le Roi du Mississippi. Alors, les
personnages sont-ils trop vivants ? Oui sans doute. Il est vrai
qu’il a été à plusieurs reprises, censuré pour des pages dites
trop violentes. Il est vrai qu’il y a un aspect assez sombre dans
l’ensemble de l’œuvre. Un sombre beau ? Possible. Les
personnages féminins comme Glittering Goldie est sublime…
Cependant, les histoires sont excellentes : rebondissements,
humour, actions…

Une superposition d’effets, entre avalanche et rouleaux
d’écumes avec cette impression de l’instant statufié dans un
marbre veiné…

C’est vrai que la formule est inattendue dans la sphère
tronquée de la littérature. Il faut dire que je pensais : racine
carré de deux pour un carré au pré, il me fallait faire fi de ce
raisonnement trop… carré et de mal en pis m’est venu à la
main de l’encre la contraction de… pi… la découverte d’un
3.14 planqué sous la mamelle des neurones égarés sous les
poils de nombres trop guerriers… bref, j’en suis pas peu fier et
vous remercie d’avoir souligné cet état de pi…
En ce moment, je suis assez déjanté et je crains à craindre le
pis avec le temps qui me savonne de sa tendre sagesse…

L’incertitude comme espace de vie (a la certitude absence de
routes) les directions ne sont pas toutes borgnes et la vision
des mots sont des loupes qui nous grandissent comme une
image aux pixels Gulliver…

Des roses à main levée
Les traits de promesses
Et les sentiments d’idées
A la vie se sèvent… à l’ivresse !