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Ciel de ciel au ciel des nuages au frais d’un état de degré porte
le Gulliver de service vers le palier d’une céleste étoile…
Il n’y a pas si grand amour qui ne serait atteindre son étoile.
Un dialogue presque unilatéral comme un déversoir de trop
pleins d’hostilité, de répulsion, de rancune, de rancœur avec
tout le cœur en débordement, la voix enfin audible dans un
écho pesant dont l’orage éclate en mille morceaux sur la seule
montagne présente immense, indomptable, sa mère dont
l’accouchement d’un égarement la griffe sur ces parois
devenues insensibles… peut-être… mais trop tard…
Obsolescence programmée des humains par l’industrie
alimentaire ?
C’est devenu tellement classique que s’en devient barbant.
La création d’un texte, c’est un peu comme ouvrir une huître,
on tâtonne à trouver une brèche mais quand elle est trouvée, y
a pu cas.
Écrire le mot pour ce mieux préparer à la mort.
Ce qui fait sens est l’ombre et non la lumière.