Page 17 - Livre 07 M Zahir Mouloudj
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  Gabrielle
Pendant de longs moments, tout le monde paniquait et se parlait à eux-mêmes. Mon père nous a proposé de crier à l’aide pour que des gens puissent possiblement nous entendre et venir nous chercher. Puisqu’il n’y avait personne dehors, on a abandonné.
Ma famille, Maélie et moi voulions tous partir de cette île déserte. Maélie a eu une très bonne idée : nager jusqu’à la rive. Mon père est parti en premier pour être sûr qu’il n’y ait aucun danger. Mais il y avait beaucoup de courant ; on voyait arriver de grosses vagues. On a appelé mon père pour qu’il revienne et il est revenu avant que les grosses vagues ne l’emportent. Malheureusement, l’idée de Maélie n’a pas fonctionné, on était encore pris sur l’île.
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