Page 10 - Carnet de route-Mon Chemin

qu'elle ra- me

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l'engloutir de

J'aimerais personne la

bouche. Vezelay,

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La vie n'est pas si hostile que mon enfance a bien voulu me faire croire.
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s Je m'arrête pour enregistrer le coucou qui anime le bois de Galloire. Je dois avancer car je n'ai marché que deux kilomètres en une heure Vingt kilomètres par jour ne me sont pas adaptés. Pas que ce soit fatiguant, mais un rythme trop rapide pour pouvoir apprécier à sa juste Un rosier, j'entre dans la propriété pour la sentir. Je m'en doutais, ses fleurs sentent aussi bon q
e trente. Mes sens me distraient. Mes écrits reprennent le dessus. Tant de distraction à noter, à garder en mémoire. Un rien m'attire, me happe. laisse valeur les cadeaux qui m'entourent. Les pèlerins qui en parcourent trente peuvent-ils apprécier chaque instant ? Le point d'arrivée étant peut être leur récompense. Pour moi, la récompense est au bout de chaque pas. Ode à la lenteur.
h bureau
c me
zo vue Au
a ? virages à vive allure. Le plus vite possible. Moi j'ai envie de les prendre au ralenti. Preuve que les opposés s'attirent. Ou pas.
B Une être
Flouc, flouc dans mes chaussures. J'ai le pied irrigué.

3
paysage.
Le diagnostique est posé : je suis une droguée de la vie!
J peut

format à genou guaient leur foi. Preuve qu'il y'a toujours eu sur cette terre des baiseurs et des baisers !

cadre d'âne, dos

nouveau à

un nous appartient. Celui qu'on ne nous vole pas. à cheval,
virage pied,

chaque fasse partie de moi. à siècle,

À IX le