Page 15 - Carnet de route-Mon Chemin
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j'y
que
bien
faudra
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pensées.
mes
modère
je
je sais que cet état de vérité viendra de plus en plus naturellement. Je suis en train de l'éprouver.
que
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Ré pervertit.
t J'entre dans le lieu dit "le bouquin". Peu être un hameau rempli d'anciennes librairies ! Je hume les roses qui ornent les demeures, j'ai Plus j'avance et plus je me sens enveloppée par la nature. Comme une seconde peau. On pourrait vite revenir à l’état sauvage. Heureu- Je me sens bien avec moi même, plus de pulsions internes. Les douleurs psychosomatiques ont disparu. Pas étonnant que les médecins Je m'in
S
- envie de les croquer. A cette allure je vais arriver à la tombée de la nuit ! Je prends le temps, je savoure. Les tourments de la vie vous font ou- blier que vous avez un nez, des oreilles, des yeux. J'utilise ses outils pour me reconnecter, pour débrider l'imaginaire, la créativité, qui me per- mettent de me rapprocher de mon "moi". Sans artifice, sans consensus. La sensibilité a parfois du bon. J'intellectualise encore b
ny
g dingue,
i
b
r
o rend l'on mettait en quarantaine les pèlerins en provenance de lieux ou sévissait la peste. Drôle d'époque quand même !
C
4 nous
J
ville retourne à la ville. Je vais vite être remise dans le bain, je dois traverser Paris pour rentrer !
la
que de campagne disparaissent. Pas besoin de tranxen dans ces si beaux endroits !
dirais
je
rien"
ou
"tout mun elles et moi : la rumination !
du
principe
le

