Page 65 - MOBILITES MAGAZINE N°65 spécial
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Temsa MD9 ElectriCity (Classe II)
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1 - Une partie des batteries de traction est logée dans les coffres latéraux, en particulier derrière l’essieu avant. Cela contribue à la tenue de route mais limite l’emport de bagages ou la flexibilité d’aménagement des sièges.
2 - Fort intelligemment, Temsa France prévoit ici une rampe manuelle en aluminium. C’est une des différences majeures avec le Temsa MD9 ElectriCity de Classe I dédié à l’urbain. Dommage que le conducteur ne puisse pas prendre appui sur les bords extérieurs de la rampe (faute de place) pour accéder à la poignée.
3 - L’ergonomie est plutôt intuitive (à un interrupteur d’éclairage près). On regrettera surtout la course limitée des réglages pour la colonne de direction. Le volant s’est révélé très agréable, tant pour le rayon de braquage que pour le filtrage ou sa prise en mains.
4 - Les afficheurs entièrement numériques ont parfois des indications qui prêtent à confusion, en particulier lors de la mise en marche. Ils sont lisibles mais abusent d’effets de style. On apprécie le rappel dans les instruments de l’allumage des feux et phares anti- brouillard.
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