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Politiques & institutions
à 11 heures 13 ou 11 heures 14 pour les 960 kilomètres de trajet.
Sur Lille-Nantes, la région Normandie craignait la concurrence avec ses TER Lille-Nantes, le cinquième itinéraire qui avait été à l’origine de questions de concurrence issues de la région Normandie, serait aussi réalisé à l’aide d’unités doubles de X 72500 et dans les mêmes conditions d’of- fre biquotidienne journalière. Avec, au départ de Lille-Flandres, la des- serte intermédiaire de Douai, Arras, Amiens, Abancourt, Serqueux, Rouen-Rive-Droite, Lisieux, Caen, Bayeux, Lison, Saint-Lô, Pontor- son-Mont-Saint-Michel, Dol-de- Bretagne et Rennes. Soit, au total, 9 heures 16 de temps de trajet pour 798 kilomètres.
cours totalement atypique avec la desserte intermédiaire de Ver- sailles-Chantiers, d’Évreux, de Ser- quigny, de Lisieux et de Caen. Donc le parcours serait jumelé jusqu‘à Dol-de-Bretagne avec l’iti- néraire Railcoop Lille-Nantes déjà présenté plus haut. Toutefois, à Dol-de-Bretagne, il emprunterait ensuite l’axe régional vers Lamballe (l’ancien itinéraire de l’express em- blématique du « Manche-Océan ») pour rejoindre Brest via Saint- Brieuc, Guingamp, Morlaix, Ploua- ret, et Landivisiau. L’ensemble du parcours serait effectué en 8 heures 31 pour 680 kilomètres. L’itinéraire Toulouse-Caen/Saint- Brieuc organiserait son offre avec le même rythme journalier de deux allers-retours, le tronc commun entre Toulouse et Le Mans étant
arrêts seraient prévus à Alençon, à Argentan et à Mézidon sur la branche vers Caen, comme à Laval et à Rennes sur la branche vers Saint-Brieuc. Un trajet d’une durée de 9 heures 48 pour Toulouse- Caen (716 kilomètres) et de 9 heures 43 pour Toulouse-Saint- Brieuc (780 kilomètres).
Ces nouvelles relations à venir ont quelque peu éclipsé ce qui pouvait être considéré à l’origine comme la relation-mère de Railcoop, celle entre Bordeaux et Lyon et qui sera lancée avec un an de décelage. Le « retard à l’allumage » qu’elle a subi serait, selon ses promoteurs, lié aux tergiversations de SNCF Réseau quant à l’attribution des sillons. C’est ce qu’affirme un com- muniqué de Railcoop d’octobre 2021 qui rappelle que « SNCF Ré-
Le sixième itinéraire, à la différence des précédents, ne peut être consi- déré comme une relation trans- versale puisqu’il relierait dans les mêmes conditions déjà proposées la gare de Massy-Palaiseau et celle de Brest. Depuis le grand pôle fer- roviaire francilien qui associe TGV, RER et trains du « Transilien ». Mais ici Railcoop propose un par-
effectué par une unité double de rames X 72500. Avec au passage la desserte de Montauban, Cahors, Brive-la-Gaillarde, Limoges, Poitiers (via l’axe TER Limoges-Montmo- rillon-Poitiers, une ligne à voie unique et faible capacité, convient- il de préciser), Poitiers-Futuroscope, Châtellerault, Tours-Ville, Château- du-Loir et Le Mans. Au delà, des
seau n’est pas en capacité de four- nir [...] des sillons de qualité en dépit des discussions [alors] en- gagées depuis plus de dix-huit mois [pourtant menées] en étroite coordination avec les régions Nou- velle-Aquitaine et Auvergne- Rhône-Alpes ». Seules 55 % des demandes auraient été acceptées
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